Planète Pandora
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Message par Smarrow Sam 16 Jan - 0:36


Lexi Spencer
A moitié morte et gardée au frais dans cet espèce de bocal, ces 6 années de voyage inter-galactique avaient défilé incroyablement vite sous mes yeux. Je m'étais éveillée quelques semaines avant l'instant fatidique de notre expédition avec pour but de me mettre en condition. L'élaboration de mon Avatar m'avait valut 2 semaines de tests longs et fatiguant pour établir les connexions cérébrales entre nous. Baignant dans un liquide rappelant le liquide amniotique dans lequel grandit un fœtus, j'observais longuement cet être bleuté, au physique à la fois animal et humain. Il avait grandit à une vitesse impressionnante. Visiblement, après 6 ans, il semblait me ressembler, avoir le même âge que moi et surtout, j'avais l'étrange sensation qu'il était comme une autre partie de moi. Je me sentais idiote de penser cela quand tous les autres conducteurs d'Avatars paraissaient trouver la possession d'un Na'vi à notre effigie était normal. Je m'y habituerai certainement. Pour l'heure, pendant que l'immense vaisseau "La Caravelle" approchait de Pandora, je restais aux côtés de mon Avatar, l'observant sous toutes les coutures avant de poser mon attention sur le plus important. Je laissais glisser ma main sur la paroi vitrée qui renfermait l'être pendant que je m'en éloigner avant de m'approcher du hublot le plus proche qui se trouver dans le laboratoire. Ce n'était plus la Terre, cette planète bleue qui se dégradait de jour en jour, sur laquelle j'étais née et avais passé le plus clair de mon temps à penser à ce jour, que je voyais s'éloigner. Non, cette planète était d'une teinte rosée parsemée de tâches bleues, cette planète c'était Pandora, la planète de toutes les convoitises. Un sourire s'afficha brusquement sur mon visage. Je ressentais comme de l'excitation, j'avais hâte d'y arriver, ne serait-ce que pour poser un pied là-bas.

Je décrochai difficilement mon regard du paysage que j'avais lorsque le chef du groupe scientifique m'interpella de l'autre côté de la pièce. Il me fit signe de le rejoindre. Jusqu'à présent, je n'avais pas vraiment eu l'occasion de discuter avec lui, je passais la plupart de mon temps dans les laboratoires avec d'autres scientifiques conducteurs d'Avatars, trop occupée à leur poser des questions sur la manière de s'habituer à ce corps que je n'avais encore jamais eu la chance d'essayer. Cet homme, au caractère bien trempé d'après ce que j'avais entendu dire, m'observa avec instance avant de prendre la parole d'une voix grave : "J'ai entendu dire que vous vous débrouilliez assez bien en langage Na'vi ? Je me trompe ?
- J'ai étudié la langue et ses origines pendant 6 ans.
- J'imagine donc qu'user de cette qualité lors d'une mission ne serait pas trop vous demander.
- Quel genre de mission ?" lui demandais-je avec de grand yeux, le cœur battant tellement j'étais curieuse de savoir ce qui m'attendait.

S'installant avec lenteur dans le grand fauteuil de cuir matelassé placé derrière un large bureau de verre, l'homme de science repris après un soupir de soulagement dût à ce confort : "Un débarquement aura lieu demain à la première heure pour sécuriser la zone de campement. L'équipe militaire a réclamé un interprète au cas où cela tournerait mal. Vous devez comprendre que nous ne sommes pas encore en mesure de savoir si la population Na'vi nous laissera faire sans réagir. En vue de cette requête de dernière minute, nous n'avons personne dans le vaisseau capable d'assurer ce poste mise à part vous. C'est pour cela que je me dois de miser toute ma confiance en vous pour cette tâche. Vous acceptez j'espère ?
- Évidement ! J'imagine que l'hexopack est de rigueur.
- Que serait un Avatar sans celle ou celui qui le contrôle ?
- Je crains ne pas saisir.
- Pas d'hexopack, Avatar oblige. A quoi bon vous encombrer de ces engins quand vous avez un moyen bien plus simple de rester en vie ?
- Je ne suis pas sûre d'assurer son contrôle en moins d'une journée.
- Bien sur que si, de toute façon, vous n'avez pas le choix alors maintenant au boulot."

D'un signe de main, il me fit comprendre que je devais à présent sortir de son bureau, ce que je fis sans rechigner, toute souriante. C'est à peine sortie de son bureau que je sautillai sur place comme une enfant, heureuse de l'opportunité que je venais de bénéficier. Peu m'importais si les autres me voyais dans cet état d'euphorie mais je me devais de me calmer pour me concentrer. Dans peu de temps, j'allais découvrir la sensation d'un nouveau corps. J'espérais dès à présent que notre arrivée ne tournerait pas au vinaigre.



Alex Chadescent
Le voyage n'avais été pour moi qu'un instant, les six ans qui venaient de passé n'avaient duré que le temps de l'embarquement et de la cryogénisation.
Le réveil avais été difficile, ma tête était comme une enclume, ma bouche étais pâteuse, et mes articulations endolories... une fois sortie du sas, je ressentis l'absence de pesanteur me décollant légèrement de ma couchettes, encore attaché par deux lanières . Rapidement un médecin de l'équipage fit une brève vérification de mon état de conscience, puis s'elança utilisant la gravité O pour se projeter vers un autre patient.
Une brève énonciation des symptômes due a notre froid sommeil par les medecin, fut le premier contact avec cette nouvelle réalité.
Après un rapide détachement de mon siège, je me dirige vers mon casier pour y récupérer une tablette de chocolat et une petite bouteille d'eau qui me servirent a étancher ma soif et ma faim due a se réveil .
Il fait froid, je me sent encore avec le cerveau et les os froids...
Notre voyage nous avais amenés a une distance incroyable de notre système solaire ...Sur une lune, un peu plus petite que notre planète mère, On entendais parlé de Pandora, quand on étais petit mais les chances de l'atteindre pour nous étaient infimes, cette astre in atteignable apparaissais aujourd'hui devant nous comme une petite boule bleu paisible... En total contradiction avec ce que l'on pourrais penser du champs de bataille du XXII éme siècle. Les promesses d'un nouveau monde neuf nous permettant d'obtenir une vie neuve, repartant a 0 dans un nouveau lieu...
Je me dirigeais ensuite dans la zone des laboratoires ou étaient stockés nos avatar, j'étais terriblement excité par l'envie de voir mon marcheur de rêves, terme utilisé par les na'vi que j'avais partiellement appris durant la derniere année sur Terre. Je pus apercevoir dans les couloirs séparant les cabines et les laboratoires la mise en marche de tous ses hommes divisé par leur idées d'obéissances et la liberté qui leur étais donné vu que s'étais censé être eux les seuls force de l'autorité terrienes à six années lumieres à la ronde.
Les scientifiques commençais leurs études et sortais une partie de leur matériel pour observer et étudié le peu de sujets et d'éléments soustrais la cette lune...
Pour ma part, je me mis a étudier toute les informations que pouvaient nous fournir les ordinateur de bord dans la salle des cuves amniotiques tissant un certains lien émotionelle avec ce nouveau corps...


Axire Larne
Noir. Seulement du Noir. Axire ne voyait que la nuit partout, et pourtant elle avait les yeux ouverts. Elle passa ses mains sur son visage. Un casque de métal recouvrait le haut de ce dernier, relié à des dizaines de fils et de cables. Petit à petit, le froid ce fait ressentir. Un frisson lui parcourut le corps.
Elle entendit des voix au dehors. Les souvenirs lui remontaient en mémoire. Le travail au laboratoire, les études de la langue des na'vi, de la faune et de la flore de Pandora. Pandora. Axire se rendit alors compte que 5 ans de sa vie étaient passés. Elle enleva son casque et ouvrit son sas.
Dehors, des dizaines de personnes se déplaçaient en tout sens. La jeune fille eut soudain envie de retourner dans son abris, tellement moins intimidant que le nouveau monde qu'elle allait découvrir. Elle suivit l'ordre des médecins, tout en cherchant du regard le moindre scientifique qu'elle connaissait et qu'elle pourrait alors suivre. Une fois qu'elle fut arrivée au laboratoire, on lui présenta son avatar qu'elle guiderais prochainement.
Dès l'instant où elle posa les yeux sur cette créature qui lui ressemblais tant, elle fut émue. Tout autour d'elle, de nombreux scientifique travaillaient sur des ordinateurs, et elle eut du mal à savoir lequel pouvait avoir des informations sur les avatars et leur façon d'être controlés. Elle se mit derrière quelqu'un et lut. Arès quelques minutes, elle poussa un soupir en s'étirant.

"J'espère que l'on arrive bientôt, j'ai tellement hâte de pouvoir contrôler cette merveille !"


Alex Chadescent
Jentendit ces paroles...
L'innocence et la pureté des idées que paraissais avoir la jeune fille me fit sourire, sans conserver a l'esprit que Pandora était une lune des plus hostiles, votre durée de vie se réduisait fortement...
Néanmoins, j'avais appris a vivre avec des personnes dangereuses . Malgré son jeune age, cette personne semblait forte et entrainé, mais tout en l'observant, je posais ses yeux sur la cuve dans laquelle était conserver l'avatar de la jeune fille. Il ne put s'empêcher de percevoir une douceur et une pureté dans cette créature en total opposition avec ce que faisais ressentir son alter ego humain...
Une fois mes révisions de la langue Na'vi effectué, je trainais souvent pendant un moment dans les couloirs, attendant le débarquement et récupérant rapidement quelques graines oublier dans les échantillons rapidement dégradés par les expériences faites dessus et dont le nombre n'étais pas ensuite vérifier .
Une fois cela, fait j'aspirais a descendre sur cette terre verdoyante et dont j'imaginais la colonisation débuté... Je n'avais qu'une hâte tester ce nouveau corps, ça force, son dynamisme et sa beauté me surprenais, je voulais le voir en action ...


Lexi Spencer
Je rejoignais dès à présent l'équipe chargée du programme Avatar pour savoir comment tout aller se dérouler. Encore branchée à l'horloge terrestre, la pendule du laboratoire affichait 20h passées de quelques minutes et le débarquement était prévu pour dans moins de 12h. En comptant la courte nuit de sommeil dont j'allais pouvoir bénéficier, il ne fallait pas perdre de temps, nous devions de suite commencer toute la procédure de transfère de mon "âme" d'un corps à l'autre. Pour être sûr que tout serait opérationnel demain matin, nous comptions effectuer le changement de corps ce soir. Le temps d'adaptation serait court mais rien ne devait pouvoir me poser de problème.

Je me trouvais désormais dans une vaste pièce, sol et mur étaient en titane, des spots disposés un peu partout et tout sens éclairés une espèce d'énorme ordinateur décoré d'une multitude de panneau de contrôle et de boutons multicolores. Je ne comprenais pas vraiment l'utilisation de cet engin, après tout mon domaine était davantage la biologie animale et végétale. Sur l'un des écrans, j'observais une image de synthèse de mon Avatar, celle-ci accompagnée d'une courbe sur l'activité cérébrale de ce dernier : inactive pour l'instant. J'essayais de décoder le reste des données qui semblaient dire long sur lui mais je n'y comprenais pas grand chose, on aurait dit qu'une sorte de code avait été mis en place pour que seul les expérimentés puisse comprendre tout ce charabia. A cet ordinateur était reliés plusieurs sortes de cercueils métalliques faits de connexions en tout genre. Tous, 6 au total, étaient disposés en cercle autour de l'appareil de contrôle. Des groupes de personnes étaient rassemblés autour de chacun, deux scientifiques m'attendaient d'ailleurs auprès de l'un d'eux. Ils étaient munis de dossiers électroniques, ces plaques de verres sur lesquelles s'affichait des documents, des données. Je les rejoignais avec détermination, jetant un coup d'œil à la large fenêtre qui se tenait à côté. A travers on y voyait la salle de réveil des Avatars qui se trouvait en contrebas par rapport à nous. Juste derrière le caisson dans lequel j'allais pénétrer y était relié mon Avatar, allongé sur un lit sommaire et sur le front duquel était collé des capteurs. On m'expliqua le fonctionnement de ce transfère. L'excitation de mes cellules provoquerait un renvoi de mes pensées, de mes perceptions vers l'autre moi. En tout cas c'était quelque chose comme ça. Je me retrouverai alors dans un état d'inconscience jusqu'à l'assoupissement du personnage que j'allai incarner, plutôt stressant mais intéressant.

Je m'installais dès à présent dans le caisson, m'allongeant convenablement bien que le confort de cette boîte ne soit pas en mesure de m'aider. Je devais me détendre et fermer les yeux, me vider l'esprit pendant que le dispositif fera son travail. Lorsque l'on referma le couvercle sur moi, j'eus une pensée pour les claustrophobes. J'espérais que ça aille vite, j'avais peur de rapidement manquer d'air dans ce truc. Après quelques secondes, un étrange emportement, une accélération de mon rythme cardiaque me fit prendre une immense quantité d'air avant que je ne puisse me rendre compte de ce qui m'arrivait. Ce fut tout d'abord le trou noir puis mes yeux papillonnèrent. Ma vue était trouble et je voyais au dessus de moi les lumière dessiner des tâches jaunes et floues. Après un petit effort, je réussis à ouvrir totalement mes yeux et dès cet instant, un homme vêtu de blanc me jeta la lueur agressive d'une torche d'observation médicale dans les yeux avant de jeter sur un ton plat que ma perception des choses semblait normale. Je l'entendais à ma droite taper sur un clavier tandis que je faisais un effort pour me relever. Ma tête tournait et c'est quand je voulus, par réflexe, poser ma main sur mon front que je me rendis enfin compte de ce qui se passait. Ma main était incroyablement grande, pâle à l'intérieur mais d'un bleu profond à l'extérieur. Je levais le regard vers le médecin qui me tournait encore le dos et m'aperçus qu'il me paraissait bien plus petit que je l'aurais imaginé. Je souris avant de prendre les devant et de décrocher les capteurs encore scotchés à mon visage. Me redressant, je me sentis comme emportée par une force particulière, comme si plus rien ne pouvais m'arrêter. J'étais en pleine forme comme jamais et regardais mes bras et mes jambes avec insistance, découvrant ce que ça faisait d'être dans le corps d'une autre. Une vitre sombre se trouvait juste en face de moi et je n'eus pas de mal à pouvoir m'observer à travers celle-ci. Je scrutai le moindre de mes traits, mon visage avait tellement changé, sans vouloir me vanter, je me trouvais assez ... "réussie". Vêtue d'une horrible robe de chambre blanche d'hôpital, une jeune femme vint m'apporter de quoi me changer. Elle m'arrivait à mon nombril et se fut étrange que de l'observer d'aussi haut. Ma queue fit d'ailleurs des siennes et fouetta les jambes de l'inconnue qui se plaignit quelques instants avant de rigoler. Je ne pus m'empêcher de m'excuser avec gêne avant de saisir le nouveau membre que j'allais devoir apprendre à maîtriser entre mes mains. Acceptant la tenues qu'elle me tendait, je me dirigeais vers une cabine pour me changer. J'enfilai avec difficulté bermuda marron, faut dire que la queue gênait quelque peu le passage, puis un débardeur noir avant d'enfiler une paire de Ranger à la pointure démesurée.


Axire Larne
Tout autour d'elle n'était que mouvement. Personne, à son exeption, ne s'arrêtait pour respirer, même quelques secondes. Elle en avait le tournis. Comme elle ne savait pas quoi faire, elle se mis à déambuler un peu partout dans La Caravelle.
Mais à chaque fois qu'elle croisait un militaire (et, bien evidemment, il y en avait un peu partout), elle était prise d'une peur bleue et accelérait sa marche. Epuissée, elle finit par retourner dans le secteur scientifique. Ne trouvant aucune connaissance, elle décida de s'assoir dans un coin et de regarder ses "confrères" travailler.
Quelques uns s'activait à observer des plantes provenant sans nul doute de Pandora, d'autres encore regardaient à leur tour les informations de leur avatar sur les ordinateurs de la salle, tandis que certains révisait la langue des Na'vis. Tout d'un coup, elle se rendit compte qu'un homme ne faisait rien. Il était là, dans un coin, l'air rêveur. Elle se leva de son siège et s'approcha de lui lentement. Une fois près de lui, elle dis d'une voix neutre :

"Vous aussi vous attendez notre arrivée sur Pandora avec impatience, n'est-ce-pas ? je me demande si les Omaticayas et les autres Na'vis voudront bien nous accepter. Après tout, il y a 6 ans, quelques personnes sont restées vivre parmis eux."


Alex Chadescent
Interrompus dans ma réflexion, par cette question sans réel réponse... je ne m'intéressait pas vraiment a cette astre son but dans l'immédiat étais de préparer mes projets et mon atterrissage, sans vraiment réfléchir a ce satellite naturel en lui même ...
Je me retournais, pour voir le visage de la deuxième personne de l'équipage à m'avoir adressé quelques mots depuis le début du voyage, ce qui fus une agréable surprise . Néanmoins, sa question me paraissais un peu trop innocente pour venir d'une pilote d'Avatar, dont les qualités de scientifiques leurs donnaient parfois un esprit manipulateur et individualiste . e lui donnais donc une réponse la plus objective possible sans pour autant empiéter sur ma personnalité.
"Non, je ne suis pas vraiment impatient, dit je Pandora est une terre paisible au premier regard, mais si il existe bien une conscience collective, je doute qu'elle soit très favorable a notre arrivée et les Na'vi sont a ce que l'on dit d'eux des sauvages et des guerriers, et ils sont sur leur terrain, Pandora est une lune mortelle sur laquelle notre sécurité et notre expédition me parais bien faible par rapport aux dangers de cette enfer. Et ma confiance envers ceux qui sont censés nous protéger est quasi nul ...
Vous comprendrez aisément, mademoiselle, que ce n'est pas une terre sur laquelle je suis impatient d'aller...
Quant a ceux qui sont rester vivre parmi eux, je ne suis pas sure qu'ils soient ravis de nous revoir ..."


Axire Larne
Axire sourit à son interlocuteur. Il avait répondut tel le scientifique qu'il était, comme si on lui avait demander d'analyser quelque chose. Un regard objectif, alors que c'était sa vie qui était en jeu. La jeune fille ne fut néamoins pas étonnée du ton détaché du jeune homme.

"Je suis sur que vous croyez que je suis naive, et que je n'ai aucune connaissance sur Pandora et sa faune sauvage et dangeureuse. Je vous dirais plutôt que j'ai toute confiance en mes capacitées de défense. Ce qui n'as pas l'air d'être votre cas on dirais. Vous semblez réticent à aller sur Pandora, que faites vous ici alors ?"

On pouvais voir par la fenêtre le soleil de Pandora disparaitre derrière l'horizon de la planète, signe que la nuit tombais du coter des Omaticayas. Les nuages du ciel prenaient peu à peu une couleur orange, puis ensuite rose. Le ciel lui même devenait de plus en plus foncé, pour finir par être bleu marine. Ce qui était impressionnant, c'était la flore locale qui s'illuminait tel les villes de la Terre vu de l'espace. Les couleurs bleu turquoise faisait penser à des milliers de néons qui s'allumaient naturellement. C'était magique, et tellement beau. Axire ne détourna qu'un seul instant sa tête pour voir ce paysage merveilleux, avant de retourner à sa conversation avec le jeune homme. La jeune fille savait néamoins que le lendemain, le débarquement des scientifiques était prévu. Elle evita de regarder l'homme dans les yeux, de peur de l'effrayer.

"Au fait, vous ne m'avez pas dit votre nom. Je me prénome Axire Larne, et je travaille dans le secteur sur les animaux de Pandora." dit-elle en tendant sa main vers lui.


Alex Chadescent
" Je m'appelle Alex Chadescent, je suis classé comme scientifique a bord, mais plus précisément je suis pilote d'Avatar, dit-je. Mais pour le moment je ne sais pas exactement en quoi va devoir consisté ma mission ..."
Il se rendit compte soudainement que son regard avais dérivé de son interlocutrice à l'avatar dont il allais prendre bientôt possession .

Aprés tout ma mission, je n'en avais que faire, j'avais mes propres objectifs et servir ces chiens du pouvoir sur Terre ou sur Pandora ne m'enchantais guère, un sentiment de solitude m'emparas tout d'un coup, je réalisais soudainement que je me trouvais loin de mes amis et de mes ex frères d'armes, il n'y avais plus d'amis pour moi a part le passeur qui faisais partie de l'équipage et dont la promesse d'amener le peu que j'aurais réussi a récolter sur terre me paraissais plus qu'incertaine ...

Entre les Pandoriens et les soldats de la Terre ... Je me trouvais entre le marteau et l'enclume, un frisson de peur et d'excitation m'envahit alors que je pensais a la suite de notre voyage, devais je tremblais de peur, ou compter sur des brutes épaisses qui n'hésiteraient sans doute pas a nous laisser derrière eux, comme des objets ayant perdu leur utilité, à la première prise de force effectué par les Na'vi.


Axire Larne
Axire vit le regard d'Alex se dirigé vers son avatar. Elle put alors le regarder fixement, manie qu'elle avait prise pour sonder les gens, sans que celui-ci ne le remarque trop. Elle put voir en lui une très grande solitude, ainsi qu'une indécision. Peut-être avait-il été forcé de venir ici ? Elle le regarda de haut en bas. il avait plus l'air d'un militaire que d'un scientifique, au vu de sa musculation, mais elle savait qu'il ne fallait jamais se fier aux apparences, elle même étant un exemple parlant. Non, elle ne pensait pas qu'il avait été forcé. Il avait l'air d'être venut ici avec et pour des convictions, et rien ne semblais pouvoir l'arréter. Il faudrait mieux l'avoir de son coter si les choses se passent mal. Non ! Axire secoua sa tête. Il ne fallait pas penser cela. Ni à ce que les échanges avec les Na'vis se passent mal, ni que l'homme devant elle pouvait être un point fort. Elle ne devait pas réfléchir comme on lui avait appris, par stratégie et tactique, mais en écoutant son coeur. Ce qu'elle avait de moins en moins de mal à faire ces derniers temps. Néanmois, cet homme avait l'air seul. Elle pouvait au moins lui proposer sa compagnie, elle même ne retrouvant pas ses amis scientifiques qui devaient partir avec elle. Elle attendit que l'attention d'Alex revienne vers elle pour dire :

"Hem...voila...euh, est ce que tu voudrais bien que...enfin qu'on devienne ami..."

Aaa, saleté de sentiments humains qui la faisait balbutier. Elle essaya de reprendre contenance tout en ajoutant :

"Enfin... je veux dire, je suis toute seule, et tu as l'air seul, se serais sympas que... enfin merde, voila quoi t'as compris !"

Son énervement la fit devenir rouge de honte. Habituellement, elle n'allais pas vers les gens, et les rapports humains n'était pas sa tasse de thé. Elle s'emmélait dans les mots qu'elle voulait dire, et elle avait peur que ses intentions soient mal interprétées.


Lexi Spencer
De retour dans le laboratoire, seule dans la peau de mon Avatar respectif, je me sentais à la fois à l'aise mais aussi gênée. Je dominais tout le monde de ma taille imposante, tout du moins de mon point de vue puisqu'il semblerait que les Na'vis soient un brin plus grands que moi. Les médecins me firent toutes sortes de tests de réflexes en tout genre ou de mémoire pour savoir si je n'avais pas perdu de mes capacités. Bien évidemment, je trouvais qu'ils se fatiguaient pour rien. Je me sentais comme avant si ce n'est avec un physique bien différent. Pendant plusieurs heures, je restais dans le laboratoire à suivre les scientifiques du regard. Il était tard et je sentais leur fatigue mais moi j'avais besoin de bouger mais l'espace me manquait. Aussi, avec nervosité, je faisais trembler ma jambe gauche pendant que je découvrais la longue tresse qui me parcourait l'échine. Observant l'extrémité de celle-ci, je perçu entre les mèches de cheveux sombres des petites ventouses rosées qui se mouvaient lentement entre elles. C'était particulièrement intriguant, je plongeais d'ailleurs un de mes longs doigt bleuté entre celles-ci. Elle se mirent à s'enrouler autour de lui, un frisson me parcouru, puis elles me lâchèrent, sans doute déçues. Je souris avant de laisser retomber la tresse qui reprit sa place au creux de mon dos. Je regardais l'heure, il était désormais 23h30, une heure tardive pour travailler pensais-je. Je crois bien que je m'étais suffisamment habituée à mon Avatar, lui et moi étions impatient d'être le lendemain plutôt que de rester ici à ne rien faire. Un des médecins chargé du programme auquel je participais vînt m'informer qu'il était temps que je reprenne ma place. Nous retournions dans la salle blanche où je m'étais réveillée et m'allongea à la même place, le laissant me raccrocher ces capteurs si désagréables sur la tronche. Je fermais les yeux et ressentis cette même sensation que lorsque j'avais fait le chemin inverse : rythme cardiaque intensifié et besoin insupportable de devoir prendre une immense quantité d'air.
Ouvrant les yeux brusquement, le couvercle du caisson s'ouvrit et un des jeunes scientifiques qui avait embarqué avec moi me regarda en rigolant.
"- Alors ? Impressionnant ?
- Plutôt ennuyant aussi." ajoutais-je en sortant dans la boîte de conserve. Je m'étirais un bon coup puis jeta un coup d'œil sur l'Avatar resté à la même place, allongé sur le lit.

La tête enfouie sous ma couette, j'émis un grognement lorsque la sonnerie incessante de mon réveil me sortie de mes rêves. Je tapais dessus violemment avant de me redresser avec rapidité pour éviter que je ne me rendorme. Les yeux mi-clos et les cheveux en pétard, je m'étirais et sortie un pied du lit pour le poser sur le sol froid de ma cabine. Un frisson m'envahit. Je n'avais pas envie de me lever, qu'est-ce qui m'obligeait ainsi à m'extirper de mon sommeil ? Cette mission. Ce fut un vrai coup de fouet, je regardais l'heure : 6h10. Il fallait que je m'active. On ne m'avait pas précisé l'heure de départ de la navette, juste qu'elle partirait dans les environs de 7h et il fallait vite que j'aille enfiler ma seconde peau. Avec précipitation, je me mis à la tâche de me préparer avant de descendre manger quelque chose rapidement à la cafétéria, là où une centaine de militaire le faisait déjà. Argh, je les ignorai, m'enfuyant avec un croissant et une bouteille de jus de fruit à la main. Mangeant dans les couloirs pour rejoindre les laboratoires, je jetai ma bouteille vide à la poubelle avant de pénétrer à l'intérieur. De bonne humeur, je saluais toute l'équipe. A vrai dire j'étais surtout fière d'être la première d'entre nous, enlevons les plus anciens bien sur, à poser pied à terre.


Smarrow
Allongé sur sa couchette, dans sa cabine.. Smarrow attend. Il fait noir, et il n'arrive pas à dormir. Il regarde depuis des heures son réveil qui clignote, les minutes et les heures passer, se rapprochant de celle où il mettra enfin les pieds sur Pandora.
4h37, Il revoit la Terre.
4h38: Bolivie. Le sang, les femmes qui crient, les enfants qui se réveillent en pleine nuit. Le regard d'un "rebelle" qui meurt, doucement, touché à la gorge, et qui se vide de son sang.
4h40: New Orleans, Louisiane. L'orphelinat, la cantine. Des enfants qui se battent la nuit, pour le meilleur lit. Son "voisin" qui se coupe les veines, un soir, et qu'on retrouvera souriant le matin, le matelas trempé de son être.
4h42: Nigeria. La guerre civile, les cadavres qui pourrissent dans les caniveaux. Un enfant de 7 ans qui prend la vie de ton meilleur ami. Et la balle dans le front que tu lui mets pour sauver la tienne.
4h46: Ex-Russie, mission "punitive". Des gens qui crient, qui fuient. D'autres qui supplient, qui se pissent dessus. Ils meurent tous. On entasse les morts, et les presques morts, et on y fout le feu. En s'éloignant, on en entendra quelques uns qui finissent de crever, chaleureusement brulés, crier leur douleur, et leur dernier souffle. On sentira l'odeur effrayante de la chair humaine en feu. Et on s'en souviendra toute notre vie.
4h51: Texas, école de la RDA Air Force. Les missions de vol, de tirs. Des arabes dessinés sur des bouts de bois, qu'on percera à grand coups de mitrailleuse. Et le week-end, les bars, les bagarres, et les putes.

4h55: Il est l'heure de se lever.
Le colonel Smarrow sauta de son lit, s'habilla et se rasa en silence, essayant de chasser ses vieux souvenirs. Il devait se concentrer sur son futur à présent. Sur Pandora, et sur sa mission.
Le débarquement serait la première opération "vitale" qu'il devrait faire pour la mener à bien, et comme toujours, il tenait à que tout sois fait parfaitement, sans tâches et sans imprévus.

Les soldats finissaient de mettre les dernières caisses dans les deux navettes, tandis que quelques techniciens les examinaient, à la recherche du moindre boulon desserré, d'une fissure ou d'un autre de ces petits détails qui peuvent vous ôter la vie. Chaque homme avait sa mission. Chacun savait où poser son cul, et quand le poser.
Une première navette, avec 700 soldats et techniciens à bord atterrira en premier.
200 hommes, divisés en 20 groupes de 10 soldats dont un AMP devront sécuriser des points stratégiques tout autour d'un premier périmètre de 20km carrés.
Le reste des hommes devra débarquer tout le matériel, donner des informations gps à la deuxième navette qui les rejoindra, et trouver le fameux point d'eau, pour y placer une balise.
La deuxième navette arrivera, avec le reste du matériel, des techniciens, Smarrow lui-même et un avatar, pour parler avec les na'vis au cas ou il y aurait un contact.
Durant le trajet et son étude de Pandora, il avait lui même appris le langage des hommes bleus, mais l'atout d'un corps similaire à celui des Na'vis n'était pas négligeable, sans oublier les connaissances scientifiques qu'un de ces matheux-marionnettistes se devait de posséder.
Viendrait ensuite la construction d'un logement de sécurité, un grand baraquement avec des dortoirs précaires, mais de l'air respirable et bien qu'inconfortables, des lits, indispensables à la survie de ses hommes, car sur Pandora, un homme qui traine du pied est un homme mort.
Ensuite, il enverra une équipe trouver le filon d'unobtanium et y placer une balise, tandis qu'une autre équipe devra protéger des techniciens pendants qu'ils installent une machine pour pomper, filtrer et rendre potable l'eau, tout aussi indispensable à la survie de ses hommes.

Tout cela, en 36 heures.


Smarrow
Ensuite viendra la partie plus délicate, et cruciale.

Après 8 heures et 30 minutes de repos (il avait tout programmé pour que les oppérations soient finies dans les délais), les hommes devront vérrouiller le périmètre et y installé une sécuritée constante, avec des ramparts, des tourelles, des détecteurs de mouvement, des caméras de vidéo-surveillance et des répulseurs soniques, éloignant ainsi les loup-vipères, stingbats et autres animaux dangereux, le tout relié a un central, qui sera pour le moment dans l'espace, a l'interieur de La Caravelle encore en orbite, et sous la vigilance de son exellente équipe de la section satellitaire.

Si il réussissaient tout cela, le reste des opérations seraient plus faciles, et la partie "vitale" serait términée.

Ils auraient 16 jours pour monter la Caravelle, le vaisseau étant une "base" aménageable, "dépliable" comme aimait le dir Smarrow, fournissant des locaux et des salles toutes pretes, des habitations et des dortoirs.
La base viendra donc en morceaux, en 8 morceaux qu'on assemblera en 16 jours, le neuvième morceau n'étant autre que l'équipage, les civiles, les scientifiques, et le commandant, qui arriveront dans un éspace neuf, aménagé, et protégé.
Un espace de 72 km carrés tout de même, créé en 16 jours, sécurisé et protégé 24 heures sur 24, grâce a une organisation de maître, a des hommes sur-entraînés et a une technologie de pointe.

Smarrow, comme tout ses hommes, allaient avoir beaucoup de travail, et comme le disait si bien ses enseignants a l'école millitaire ; il allait en chier a se souvenir de l'odeur pendant 20 ans.

Mais il était prêt. Il se préparait pour ça depuis 5 longues et pénibles années.


7h15: Les haut-parleurs annoncent l'embarquement iminnent, tous les soldats sont déjà prêts a embarquer, il font la queue devant l'entrée des navettes. A leur tete, le sergent Fepixx, qui a dirigé les préparations.
Smarrow passa près d'eu, non sans leur donner un léger et légendaire sourire, mélange de fierté, de satisfaction et d'exitation à l'idée de commencer la mission de sa vie.


Scylléa
Lors du décollage Scylléa avait tenu à observer la planète qui rétrécissait au loin, la planète bleue comme on dit...enfin comme on disait parce qu'elle était devenue bien grise et terne leur planète, la technologie et l'industrie ayant ravagé et pollué jusqu'aux Glaciers des Pôles.
Mais terne ou non cela restait sa planète et elle tenait à la voir s'éloigner.

Lorsqu'ils approchèrent de Pandora Scylléa faisait partie des rares personnes de l'équipage qui n'avait aucun rôle précis, ni aucune tache à assumer, qui aurait songer à manger dans un tel moment. Elle avait bien aidé à finir de ranger mais son rôle s'arrêtait là et elle avait donc tout loisir de profiter de l'Apandorissage, comme elle aimait à le dire.

Elle se colla à la paroi de métal pour laisser passer une groupe de soldats sur le pied de guerre, puis reprit sa route quelques secondes avant d'être dépassée par un autre groupe. Elle accéléra l'allure pour les suivre, cela lui éviterait de se faire toute petite.
Quand ils dépassèrent le poste de pilotage pour aller vers leurs engins de mort elle s'y arrêta et y pénétra doucement, en silence, espérant que personne ne songerait à la chasser.

Elle observa Pandora, la verte, la belle, la luxuriante Pandora par le panneau translucide, le souffle coupé.
Plus la planète se rapprochait et plus sa beauté, sa richesse, et on ne parle pas, ici, d'Unobtanium, était évidente et sautait aux yeux émerveillés de la petite serveuse.


Larkin
Larkin vérifiait tranquillement son équipement. Il fut rassurer de voir que tout était là. Alors il posa son sac sur ces genoux et attendit tranquillement la fin de la descente.
Le vaisseau commença à être secoué lors de son entrée dans l’atmosphère. Larkin avait l’habitude d’être secoué, mais là, il faut dire que c’était un peu fort. Il sera fort son équipement, attendant que cela ce termine. Il regarda autour de lui. Les autres soldats étaient comme lui. En face de lui était sanglé un scorpion prêt à l’emploi. Il allait lui permettre de survoler la zone afin de prévenir de toute attaque.

Il entendit un grésillement dans son communicateur et reconnut la voix de son chef de section.


Sergent Larkin, je vous rappelle votre mission. Vous devez établir le périmètre de sécurité avec les autres unités. Puis quand le scorpion sera opérationnel, vous monterez à son bord afin de survoler le secteur pour prévenir d’éventuelles menaces.

Larkin appuya sur un bouton du communicateur posé sur son épaule et répondit.

-Sergent Larkin, bien reçut.

Larkin enfila son masque de respiration et activa sa visière. Une série d’information s’affichèrent devant lui et il les passa en revue. Il vérifia notamment la quantité d’oxygène qu’il avait ainsi que sa liaison radio. Puis quand ce fut fait, il sortit son fusil automatique et vérifia le contenu du chargeur. Au passage il vérifia la présence de son pistolet dans son étui sur sa hanche gauche et les chargeurs de rechanges.
Le temps qu’il fasse tout cela, le vaisseau avait atterrit et le porte s’ouvrait. Larkin décrocha alors les sangles de son siège et se leva. Il mit son packtage dans son dos, chargea son arme d’un geste sûr et enfin, il ouvrit la valve d’arrivé d’oxygène de son masque.

Le grésillement familier du communicateur se fit entendre suivit de la voix du commandant


-A TOUTES LES UNITES, GO GO GO !!!


Fepixx
L'arrivée dans l'atmosphère de Pandora fit bringuebaler tout le matériel qui n'avait pas été accroché et surtout, les hommes étaient tous accrochés au mur avec des sangles, pour éviter de partir involontairement se cogner partout dans le vaisseau de débarquement. Heureusement, les AMP étaient eux aussi sanglés au sol, au centre de la navette.
Soudainement, il y eu un choc différend des autres. Un message retentit dans la soute:
"Nous avons atterri. Mettez vos masques. Que les militaires se préparent et se placent devant la porte de sortie. Les autres, restez attachés jusqu'à nouvel ordre."

Fepixx se leva et après avoir enfilé son masque et armé son fusil d'assaut, il se plaça devant la porte pendant que deux AMP étaient activés par leurs pilotes respectifs.

"Ouverture dans 30 secondes,déclara le co-pilote de la navette."

Les deux machines activées allèrent se placer près de la porte.

"Ouverture, attention à vous."

La soute s'ouvrit lentement et chaque militaire leva son arme, en attente d'un ennemi hypothétique. L'atmosphère de Pandora pénétra la zone. En effet, Fepixx sentit tout de suite la hausse de la température qui accompagnait l'air toxique de la lune et sa chaleur tropicale. L'air se troubla, manifestant qu'ils étaient bien arrivés. Fepixx descendit lorsque la porte de la soute toucha le sol. Il fut suivi par les autres hommes.

"Couvrez tous les côtés, déclara-t-il. On ne sait pas trop ce qui peut surgir."

Les deux AMP descendirent rapidement la rampe.

"Colonel, on a atterri, je vous envoie les données GPS !"


"Bien. Maintenant sergent, envoyez les équipes sécuriser leurs positions, elles sont indiquées sur les gps. Quand à vous, je veux que vous alliez me trouver le point d'eau, et que vous y placiez une balise.
Faites vite Fepixx, j'arrive bientôt, et je veux que tout le matériel de votre navette soit débarqué quand j'arriverais."


"Ce sera fait Colonel"répondit Fepixx confiant.


Larkin
Larkin quitta le vaisseau en même temps que plusieurs autres troupes. Arme au poing, il inspecta rapidement le secteur. Il sentait la chaleur de la planète. La sueur coulait déjà dans sa tenue. Il sentait son cœur battre et l’adrénaline monté en lui.

La zone où avait atterrit la navette était un plateau. Une zone difficile d’accès et aisément défendable.
Larkin avança droit devant lui jusqu’à environ une vingtaine de mètres et se mit à couvert derrière un rocher. Il inspecta ce qu’il y avait devant lui. Il tapa rapidement une série de commande et sa visière afficha un plan de la zone. Il tapa à nouveau une série de commande et plusieurs points verts d’affichèrent. Ils symbolisaient les personnes à coté de lui.

Après quelques minutes, son communicateur grésilla et la voix du Sergent Midas se fit entendre.


-Unité 25, le Scorpion est prêt, rejoignez la navette.

Larkin se releva et commença à reculer en continuant de pointer son arme, puis il fit demi-tour et rejoignit son unité au pas de charge.

Il fut le dernier à embarquer dans l’engin qui décolla immédiatement. Le sergent artilleur Bequin était déjà prête, assise du coté droit de l’appareil, en train d’armé une énorme mitrailleuse munit d’un lance roquette. Le Sergent-major Midas discutait avec le pilote dans le cockpit. L’officier de communication Davins et le soldat James se sanglaient dans les sièges de l’habitacle.

Larkin s’assit du coté gauche, les pieds sur le marche pied à l’extérieur. Il rangea son fusil automatique et sortit la mallette qui contenait son fusil de précision. Il prit la crosse du fusil et la poignée qu’il fixa ensemble, ensuit il attrapa la gâchette et l’inséra dans l’ensemble prévu à cet effet. Ensuit il attrapa le canon de l’arme et le vissa. Il finit ensuite par mettre le viseur et enfin le chargeur. Pendant ce temps, il sentit que quelqu’un accrochait quelque chose sur lui. C’était James qui attachait le câble de sécurité à la ceinture de Larkin.


-ce serait con que tu crèves comma ça dés le début.

Larkin ne répondit rien, il tira un petit câble fin de sa ceinture, un fixa une extrémité sur le fusil et l’autre sur sa tempe. L’implant optique vibra et Larkin ressentit un léger picotement dans le crane. A présent son œil droit voyait la même chose que la lunette du fusil, avec les informations données par la visière. Larkin rabattit un cache devant son œil afin de ne pas être gêné par une surcharge d’information. Il se pencha un peu dans le vide et commença à scruter le sol. Au passage, il activa son communicateur afin de pouvoir parler sans avoir à appuyer dessus.

Le Scorpion prit un rapide virage sur la gauche et passa juste au dessus de la navette


Lexi Spencer
Comme la veille nous nous rassemblons autour du caisson où je dois prendre place pour mon "changement de costume". Aujourd'hui, chacun savait ce qu'il devait faire et tout se déroula assez rapidement et sans encombre. De mon côté, cet instant se déroula comme la première fois, les mêmes impressions et le même réveil difficile. Aussitôt éveillée pour la seconde fois de ma journée, on me retira de suite les capteurs et je n'attendis pas pour m'éclipser. Rien ne me retenait ici pour le moment, tout ce que je devais faire à présent, s'était de rejoindre l'équipage pour le prochain débarquement qui aurait lieu dans moins d'une heure. Je sillonnai les couloirs du vaisseau, croisant certaines personnes qui semblaient s'étonner de voir un Avatar en pleine utilisation se promener ici. Heureusement, le plafond était assez haut pour m'accueillir, aussi je n'eus aucun mal à me rendre au lieu dit. Pour mon premier pas sur Pandora, je m'étais équipée d'un sac à dos, certes peu proportionnel à ma taille, où était rangé de quoi prendre des notes ou encore prendre des photos de ce que je pourrais apercevoir. Je m'étais aussi armée d'un canif en bois de cèdre, je savais qu'il ne me serait certainement d'aucun secours, qu'il semblait ridicule à côté des mitraillettes et je ne sais quelles autres armes bruyantes mais efficaces, cependant on est jamais trop prudent.

Je montais enfin à bord de la navette, direction Pandora ! Comme la multitude d'autres soldats qui embarquaient, j'avais attaché quelques sangles pour éviter les secousses du transport. Au milieu de tous ces uniformes et de ces crânes rasés, on pouvait clairement dire que je faisais tâche dans le décor. Ils avaient tous la même expression sérieuse et renfermée à vous faire des frissons dans le dos. J'avais bien choisit ma place, façon de parler. Je me trouvais juste en face du Colonel Sma ... Smarrow. Un type chauve au visage neutre qui me regarda quelques instants avant de détourner son regard tandis que moi, je me contentais d'afficher un petit sourire bête. Je vais bien donc tout va bien. Il y avait de quoi mourir d'ennui, j'espérai que le voyage ne dure trop longtemps. Plus loin une bandes de militaires sortaient des blagues salaces à propos des Na'vis, rien de bien drôle d'ailleurs. Je m'efforçai d'ignorer leurs rires rauques et désagréables tout en tripotant du bout des doigts mon sac de toile.

Une première secousse annonça l'arrivée de la navette dans l'atmosphère de Pandora. Je connaissais ce phénomène et pour m'éviter de paniquer je commençai à réciter dans ma tête tout le paragraphe sur le pourquoi du comment, une histoire de force entre les particules extérieures à l'atmosphère pandorienne et celles internes qui se repoussent les unes les autres entraînant des chocs d'équilibre. Enfin bref, tout un truc complexe. Mon excitation précédente avait laissé place au stress du passage dans cette nouvelle zone. Est-ce que la navette allait tenir le coup, j'imaginais que oui et j'en eu la confirmation lorsqu'une radio nous annonça notre atterrissage. Ma main droite alors jusque là crispée sur une poignée, se détendit aussitôt et j'observais autour de moi la réaction des autres. J'en conclus qu'ils ne savaient pas apprécier les bonnes choses, rien n'avait changé dans leur expression. Ils s'empressèrent tous de porter à leur visage le masque qui leur permettait de garder la vie sauve. Moi je pris le temps de me détacher pendant que s'ouvrait devant nous la grande porte qui donnait sur l'extérieur. Je sentis immédiatement le changement d'atmosphère, ce qui me fis d'ailleurs suffoquer l'espace d'un instant avant que mon organisme ne s'habitue à l'air de Pandora.

Un brouhaha de cliquetis retentit. Tous avaient leur arme sous le bras, on avait l'impression de partir en guerre et j'avoue que l'idée ne m'enchantait pas vraiment. Chacun des soldats près à effectuer son travail descendit de la navette, aux aguets et prêts à tirer sur tout ce qui bougerait, en tout cas c'est l'impression que j'eus à ce moment. Je les suivis de près, sortant peu à peu de l'ombre du sas avant de poser un pied sur Pandora, l'atmosphère était humide, chaude mais incroyablement agréable pour celle que j'étais. Je faillis me faire renverser par un AMP, l'un de ces grands engins qu'un militaire pilotait. Étais-je si invisible que ça ? Peu importe, après l'avoir suivit du regard quelques secondes, je levais les yeux au ciel et sourit jusqu'aux oreilles en voyant toutes ces autres lunes gravitant autour de Polyphemus. C'était un spectacle à couper le souffle, j'étais plus que fascinée. Aucun mot ne pouvait décrire ce que je ressentais en voyant ce paysage. Je fit quelques pas dans la poussière qui tapissait le sol, regardant autour de moi les militaires s'activer tels de petites fourmis ouvrières. En réalité, ma présence ne servait pas vraiment à grand chose pour le moment néanmoins, je sentais que j'allais m'amuser comme une petite folle ...


Dernière édition par Smarrow le Sam 16 Jan - 0:36, édité 1 fois
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Message par Smarrow Sam 16 Jan - 0:36

Smarrow
Il observa la premiere navette partir, et comme soulagé de les voir disparaitre, il alla s'asseoir, et boir un grand café très sucré, comme il les aimait.
Puis il alla s'installer dans la deuxieme navette, attendant les informations gps de la premiere pour aller les rejoindre.

Une petite demi-heure plus tard, Fepixx lui-même contacta Smarrow:
"Colonel, on a atterri, je vous envoie les données GPS !"

Ce a quoi il répondit:

"Bien. Maintenant sergent, envoyez les équipes sécuriser leurs positions, elles sont indiquées sur les gps. Quand a vous, je veux que vous alliez me trouver le point d'eau, et que vous y placiez une balise.
Faites vite Fepixx, j'arrive bientot, et je veux que tout le materiel de votre navette soit débarqué quand j'arriverais.
"

Quelques secondes après avoir coupé la liaison, la navette démarra, et il fut secoué quand celle-ci se détacha de La Caravelle pour ensuite allumer ses réacteurs, et se diriger tout droit vers Pandora.

Assise en face de lui se trouvait la marrionettiste, une avatar assez jolie, qui parassait sur-exitée et affichait un large sourire, euphorique. Son attitude lui rappela celle d'un enfant qui partirais en vacances, ce qui l'enerva, bien qu'il ne lui en dit rien.
Il se contentait de garder son calme, de se concentrer sur les évenements a suivre.. Il cachait en faites une certaine angoisse, apparut soudainement. Le colonel, si confiant habituellement, avait désormais peur de ne pas réussir cette mission.
On disait que Pandora était un paradis, tout comme la terre aurait dû l'être si l'humain n'avait pas était ce qu'il est.
Il ne voulais pas détruire ce paradis. Il ne voulait pas faire de massacre, tuer des enfants, entasser des corps et les bruler. Il ne voulait plus jamais faire de choses comme ca.

Cela faisait un peu plus de 5 ans qu'il n'avait tué personne, et il en était très heureux.
Mais il connaissait les ordres de l'USE, il savait ce qu'il serait forcé de faire si sa premiere option, celle des négociations, tomberait a l'eau. Et cette chance qu'il avait de réussir une mission sans faire couler de sang, elle était entre les mains des avatars, des gamins qui pensent partir en vacances ?

L'enervement et l'angoisse laissaient place au découragement, quand soudain la navette commenca a trembler, seccouant assez violament les passagers. Ils venaient de rentrer dans l'atmosphère de Pandora.
Les seccousses étaient très fortes, " l'enfant " en face de lui ne souriait plus, et même pour Smarrow, qui avait fait partie de l'ADR Air Force, les secondes semblèrent des heures avant le grand coup et le bruit sourd de l'aterissage.


Commandant Malaki Jones
Pandora approchait, le commandant se leva de sa couchette, passa sous une douche rapide et se dirigea, habillé de frais et ave'c sa barbe mal rasée si séduisante, vers la salle de commande.
Il regarda Smarrow et le ballet des hommes qui savaient ce qu'ils avaient à faire. Pour le début de l'affaire et le débarquement le commandant avait laissé faire les militaire,s comme on le lui avait ordonné en haut lieu, il était inutile de songer à pacifier et éduquer les indigènes si les hommes mourraient bêtement d'une attaque d'animaux.
C'est à contre-cœur, bien sur, que Malaki laissa les commandes à Smarrow, mais il avait gardé de l'armée une certaine tendance à l'obéissance.

Malaki n'avait pas bien compris tout ce qui allait se passer, de toute façon de même que la majorité des civils, à part les scientifiques, il n'y participerait que peu et aurait juste à poser ses fesses dans un navette une fois la base viable et sécurisée. Avec un peu de chance il serait assis à coté d'une charmante civile, ce qui ne gâcherait rien.

Pandora s'avançait vers eux, apparaissant dans toute sa splendeur.
Une création Divine dont La Bible n'avait pas parlé, dont Dieu Lui même avait gardé jalousement le secret. Cette terre était pour les humains l'Epreuve ultime avant l'Armageddon, comme le déluge avait été leur salut, Pandora le serait peut être, si lui, Malaki Jones, savait, comme Noë autrefois, guider le navire vers la terre promise.
L'Unobtanium était comme ce rameau d'olivier porté par la colombe, le gage de la survie de l'humanité et de la Terre, qu'importaient ces scientifiques qui parlaient d'énergie, de puissance, de probabilité...
Malaki lui le savait, Dieu avait placé là ce minerai pour qu'ils le trouvent quand ils en auraient besoin, Dieu avait guidé son destin jusqu'à cette planète pour qu'il sauve l'humanité de la destruction qui s'annonçait sur Terre, Dieu le mettait à l'épreuve. Et il serait digne de Lui.



Larkin
Larkin pouvait enfin admirer la magnificence de la planète, les couleurs paraissaient irréelles, comme tout droit sorti d'un rêve. Larkin aurait pu rester à contempler cela, mais son communicateur le ramena à la réalité.

- Unité 25, la deuxième navette arrive, mais on nous signale un groupe de volant en approche, faites en sorte que la navette se pose sans encombre, terminé.

Puis ce fut la voix du Sergent-major Midas qui se fit entendre.

- vous avez entendu les ordres? On va se mettre en soutien de la navette, je veux tous le monde aux postes de combats.

Le scorpion leva le nez et prit rapidement de l'altitude. Il montait de plus en plus. Soudain, la navette apparu, sortant des nuages. L'hélico se plaça à coté et la suivit dans la descente. Larkin scrutait l'horizon puis soudain, il aperçu une forme noir qui approchais au loin. Il pointa son fusil dans la direction afin de profiter de la lunette pour mieux voir. Il reconnu alors les Ikrans. Ils étaient comme sur les photos qu'il avait vues. Ils y avaient environ une quinzaines de bêtes.

- menace repérée, 15 unités arrivent à 700m à 8heures!

Immédiatement, le scorpion effectua une rotation et plaça face à eux. Les animaux étaient encore trop loin pour la mitrailleuse lourde, mais pas pour son fusil. Il se mit en position et visa. Quelques secondes après, il tira et on pu entendre l'une des bêtes hurler en tombant. Elle n'était pas morte, mais elle ne pouvait plus voler et la chute lui serait fatale. Il recommença à viser et tira. Mais cette fois-ci, il manqua sa cible. Il tira à nouveau et ne réussit qu’à blesser l'un d'elle. Il hurla dans son communicateur à l'attention du pilote.

- tu va le stabiliser ton engin, je n’arrive pas à viser!!

La réponse du Caporal Simons ne se fit pas attendre.

-tu crois que c’est facile de manœuvrer cet engin à coté de la navette, il y a plein de perturbation.

Larkin étouffa un juron et recommença à viser. Cela fait tellement d’années qu’il n’avait pas combattu, et en plus sur cette planète, tout était différent, la gravité, l’air, le vent. Cela perturbait Larkin. Mais il se ressaisit et recommença à tirer. Les créatures n’étaient plus qu’à 500m. Il tira et cette fois-ci, le tir atteint sa cible qui tomba au sol. Il tira encore deux fois et fit 2 victimes. Puis il éjecta son chargeur vide pour en remettre un autre. Pendant ce temps, son communicateur grésilla. Larkin reconnut la voix de l’artilleur Bequin.

-ils sont à porté de feu pour moi, Larkin prend les cibles du fond, je m’occupe des plus proches.

Aussitôt, la mitrailleuse lourde ouvrit le feu et vomi un déluge de métal sur les Ikrans. Pendant ce temps, Larkin abattait les créatures de derrière afin d’éviter d’être submerger. La bataille dura quelques secondes, et à la fin, les derniers Ikrans firent demi-tour. Le Sergent-major Midas prévint la base par son communicateur.

-scorpion Fox Charlie 22 Bravo, à navette Bravo, la voie est libre, vous pouvez vous poser tranquillement.

-bien reçut Fox Charlie 22 Bravo, nous continuons notre descente merci, navette bravo terminé.

Larkin croyait en avoir fini, mais une voix dans son communicateur, le ramena à la réalité.

- scorpion Fox Charlie 22 Bravo, ici le contrôle de mission, on nous signale un attaques au point 22 Charlie, foncer donner un coup main.

Aussitôt, le Scorpion plongea vers le sol le plus vite possible. Larkin et les autres furent écrasées par l’accélération et Larkin réussit tant bien que mal à recharger son arme.

*et bien c’est repartit !*


Fepixx
Fepixx regarda autour de lui. Ils avaient atterri sur un haut plateau. Une aubaine cette zone. Fepixx fit signe à deux techniciens d’amener une espèce de boite métallique à sa position. Les deux hommes portèrent leur fardeau, ployant sous un vent violent, avant de retourner chercher le matériel dans la soute. Le sergent se pencha et appuya sur un petit bouton au sommet de la boite. Un petit écran se déploya et une antenne sortit sur le côté. Fepixx tapa une série de commandes sur l’écran et il y eut ce message :
"Radar activé, veuillez connecter le caisson."

Les techniciens arrivèrent à point nommé avec ledit caisson qu’ils branchèrent. Fepixx tapa une nouvelle commande :
"Recherche de point(s) d’eau activée."

Le soldat se releva pendant que la recherche continuait. Il aida ensuite à décharger la navette de transport du matériel jusqu'à ce qu'un bip bip insistant se fasse entendre. Il regarda la source de ce bruit gênant et il vit que c'était pour marquer la fin de la recherche d'eau. En effet, une source avait été trouvée. Coup de bol, ce n'était pas loin. Il téléchargea la carte et surtout la localisation de ce point d'eau sur son PDA.

"Je vais voir cette source d'eau, déclara-t-il à ses hommes, continuez de décharger, je reviens.
"

Il posa son sac contre le radar. Au cas où il disparaissait, les bombes seraient au moins toujours là. Il s'éloigna ensuite du lieu d'atterrissage, sur environ 200 mètres sous une chaleur intense. Il aurait aimé boire mais de toute façon, il n'avait rien prit pour se désaltérer et il aurai dû enlever son masque. Il consulta son PDA, il était à côté du signal. En effet, il commençait à percevoir un bruit d'eau qui coule. Il chercha pendant quelques minutes avant de la trouver. Il vit alors un petit cours d'eau, qui provenait de derrière un rocher couvert de mousse à côté d'un arbre dégarni de feuilles . Sur ce territoire où il n'y avait que de l'herbe à perte de vue, cela faisait du bien de voir au moins un arbre debout. Fepixx se baissa et sortit un tube de verre et un bouchon. Il remplit le tube d'eau pour une analyse afin de savoir si elle pourrait être utile lors de l'implantation de la base. Il planta ensuite une fine aiguille dans le sol qui transmettrait la position exacte de l'eau. Il revint ensuite vers le camp en marchant tranquillement, avec tout de même le doigt sur la gâchette du fusil.

En revenant, il remarqua que la majorité du matériel avait été sortie du vaisseau. Il en profita pour reprendre son sac et il sortit une gourde remplie d'eau. Il enleva son masque et avala un longue gorgée du liquide, avant de renfiler la clé de sa survie dans l'atmosphère toxique.

"Bien, bien on avance bien."

Soudainement, quelqu'un hurla dans la radio:
"Contacts à l'Est !!".

Fepixx posa la bouteille d'eau sur une caisse et prit son fusil avant de se mettre à courir vers la zone où les contacts avaient été repérés.


Commandant Malaki Jones
Ils avaient touché terre, les militaires s'agitaient dans un ordre propre à satisfaire le Commandant, comme dans une ruche chacun avait sa place, sa fonction et savait exactement quels gestes faire à quel instant précis, sans avoir besoin de regarder l'autre à coté pour savoir que lui aussi accomplissait ses taches en temps et en heure.

Comme il avait aimé l'armée, en dehors des temps de guerre, pour cette organisation qui laisse votre cerveau libre d'étudier les grandes questions essentielles ( "Comment parler du paradis à des incultes ? " ou encore "Comment convertir les bouddhistes au christianisme, seule vraie Foi ? et même "Est-il chrétien de tuer un infidèle ? " mais cette question n'était pas resté longtemps ans son esprit, al réponse était oui, ainsi il pouvait voir al grandeur de Dieu, même si c'était depuis l'enfer où allait son âme d'infidèle.)
Le seul souci dans l'armée c'est qu'en période de guerre c'est assez dangereux, et Malaki le savait, il n'était pas fait pour le danger, c'était un homme de lettres, un homme de parole, mais surement pas un homme de terrain.

Aussi observait-il le ballet soigneusement arrangé des soldats depuis la salle des machines, observant le groupe qui se détachait du lot pour aller chercher de l'eau potable, surveillant l'équipe qui montait le centre de commandement, remarquant, sans rien dire, celui qui agonisait derrière une caisse pour avoir mal fermé son masque.


"Adieu mon fils, puisses-tu trouver le repos éternel près de ton Créateur. Amen."

murmura-t-il en se signant.

Oui chacun avait sa place et lui était en hauteur, à l'écart, protégé par le cockpit de la salle de commande, tranquillement assis devant un thé brulant, là où devait être un commandant.


Fepixx
Avant même d'arriver, il entendit dans sa radio :
"Des loup-vipères, toute une meute !!"

Il entendit aussi les deux AMP et les soldats qui ouvraient le feu. En arrivant, il vit qu'il y avait environ une dizaine de loup-vipères qui leur fonçaient dessus. Les hommes ouvraient tous le feu, Fepixx y comprit avant que quelques créatures les rejoignent. Le feu de barrage avait décimé la meute, toutefois il y eu encore un loup-vipère pour arracher le masque d'un soldat en lui fonçant dessus puis en lui griffant le visage et un autre pour lacérer les jambes de ce pauvre homme. Personne ne pouvait tirer sur les créatures sans toucher le soldat en même temps. Fepixx s'avança donc et donna un grand coup de pied au monstre qui lacérait le visage du malheureux. La bestiole vola sur environ 2 mètres avant de retomber et d'être déchiquetée par les tirs d'un AMP. Le deuxième s'enfuit en glapissant mais il fut abattu avant d'avoir pu s'enfuir

"Appelez un médecin !! Vite"

L'homme perdait beaucoup de sang mais il y avait encore la possibilité de le sauver avec une intervention rapide. Fepixx arracha une partie de sa veste treillis pour panser les jambes du soldat à terre, toutefois, il n'y avait pas grand-chose à faire pour le visage. On avait au moins pu lui remettre son masque mais il avait une respiration saccadée sans compter le sang qui commençait à s'accumuler sur son visage. Si on le lui retirait pas, il risquait de se noyer avec son propre sang.

"Mais bon sang, que fabrique ce foutu médecin !!!!"

C'est ce moment que choisit le médecin pour faire son apparition, en ATV Grinder.
"Il faut tout le suite l'emmener dans le vaisseau où on pourra lui retirer son masque!! On ne peut rien faire ici."

Deux soldats déplièrent donc une civière et mirent le corps du Marine dessus avant de le porter dans le véhicule qui s'éloigna alors de la zone du massacre. On l'entendait encore hurler malgré la distance.


Smarrow
Il regardat par le hublot, mais on ne voyais rien, un grand nuage de poussierre rendait les yeux inutiles.
Ses oreilles, elles, entendirent le message du pilote, qui lança:" Nous avons atteris!"

Quelques secondes plus tard, la porte de la soute s'ouvrit, et la navette fut envahi par l'air ambiant de Pandora, prête a nous tuer avant même de l'avoir touché, mais tous avaient déjà enfilés leurs hexopacks.

Smarrow pris son arme d'appoint et sortit le premier.
Il entra dans un grand nuage de poussiere jaunâtre, pénetrée par quelques rayons lumineux qui faisaient de la résistance. Il continua d'avancer, suivit de quelques soldats, et le nuage disparrut petit a petit, laissant apparaitre la magnifique Pandora sous les yeux brillants du colonel.
Le ciel était bleu, parfois blanc, et taché de rose. On y voyait les autres lunes qui étaient elles aussi en orbite autour de Polyphemus, une planète de gaz géante, et de là ou il était, c'etait magnifique.
Il mis quelques instant a baisser les yeux, et fut là aussi surpris par le paysage extraordinnaire qui s'offrait a lui.
Il se trouvait sur un plateau, en hauteur. De l'herbe a perte de vue, parsemée de petites et grandes fleures très colorées. On voyait a quelques endroits éparpillés des arbres, extrémement haut. Un léger vent frais caressait son crane, et il avait presque envie d'enlever son masque pour le sentir contre son visage.

Puis au loing apparut une forme beaucoup moins jolie, et il reconnut celle d'un ATV Grinder, une sorte de quad tout terrain, qui se dirigeait a très grande vitesse vers eux. A bord, des militaires, et un médecin, qui enmennaient un soldat plein de sang, la jambe déchiquetée et le visage lacéré. Son nez et ses deux yeux avaient été arrachés. Il avaient de grandes griffures très profondes et il saignait énormément. Sa lèvre inferieure pendait, et il n'avait plus de peau sur la joue gauche. Il hurlais de douleur, et le médecin n'avait rien a lui donner pour qu'il souffre moins.
Quand Smarrow vut ceci, sa gorge se resserra et il ut une boule au ventre. Il demanda au médecin ce qui s'etait passé, il lui réponut qu'une meute de loups vipères avaient attaqué a l'est. Puis le colonel demanda au médecin si l'homme avait des chances de s'en sortir. "Très peu monsieur. Vu son état et le sang qu'il a perdu je crains qu'il.."
Smarrow n'attendis pas que le médecin ai finit, il tira une balle dans le front de la victime, qui se tut et mourra sur le coup. Puis il ajouta au médecin qui le regardais, très surpris:
"Si vous refaites souffrir un de mes hommes alors qu'il n'y a pas de chance qu'il vive, c'est vous que je tue."


Fepixx
Bon sang, même pas une heure et il y avait déjà un blessé grave, le colonel ne mentait pas se souvint Fepixx :
"Vous savez, sur Pandora, si vous n'êtes pas préparés, si vous n'êtes pas fort, aussi bien pour porter votre arme que dans votre tête, et bien monsieur, vous êtes mort. "

Et bizarrement ce fut ce moment que choisi la deuxième navette pour arriver et finalement atterrir. En se rapprochant d'elle, il vit le Colonel descendre et parler un peu au médecin à côté du blessé avant de tirer sur ce dernier.

"Si vous refaites souffrir un de mes hommes alors qu'il n'y a pas de chance qu'il vive, c'est vous que je tue."

Fepixx savait la raison de ce geste qui pourrait paraître barbare pour un observateur extérieur mais qui était parfaitement humain. C'était comme lorsque l'on savait qu'un animal souffrait et qu'il était condamné, on le tuait rapidement pour ne plus qu'il souffre en agonisant. Là, c'était exactement le même cas.

A ce moment précis, Fepixx vit les caisses de matériel larguées depuis la vaisseau, retomber un peu partout sur le plateau. Il se dirigea vers le Colonel pendant que le corps était évacué. Il le salua et lui remit le rapport concernant le point d'eau. Le Colonel lui ordonna d'aller sur chaque pile de matériel qui venait d'être larguée et d'y placer une balise. Le Sergent acquiesça se dirigea ensuite vers une caisse de matériel pour ôter sa chemise et se mettre juste en T'Shirt, avant de pouvoir se changer plus tard.
Fepixx réquisitionna alors un ATV Grinder pour aller voir chaque pile de matériel tombé et placer un émetteur dessus.


Lexi Spencer
Quelques minutes passèrent durant lesquelles je me sentis gênante. Chacun savait ce qu'il se devait d'accomplir pendant cette journée cependant ma présence ne semblait pas vraiment nécessaire. Je me disais qu'avec un peu de chance, je serai utile dans quelques heures mais au fond je sentais très bien que ce ne serait pas le cas. Je décidais alors de prendre les choses en main et de m'occuper, la journée promettait d'être longue mais peu importait.

Je commençais par m'éloigner de la navette avec laquelle nous avions atterris. Encore sous cet état d'exaltation, j'étais comme plongée dans un rêve et je ne cessais de regarder tout autour de moi, oubliant la présence des autres militaires et techniciens en plein travail, je n'avais de yeux que pour la forêt qui s'ouvrait à moi. Nous nous trouvions dans une sorte de clairière, une vaste étendue de sable fin et de terre plantée au beau milieu de la forêt. Je ne saurais traduire la taille de la zone par des chiffres corrects mais elle était visiblement immense et suffisamment grande pour accueillir l'énorme vaisseau qui s'approchait peu à peu de ce cette planète pour atterrir. Les arbres étaient immenses et ne manquaient pas verdure et de couleur, c'était comme dans mes livres : un paysage sans fin, un monde emplit de secrets. Libérée de tout masque de survie, je vagabondais, souriante, ici et là, tenant fermement l'unique bretelle de mon sac accrochée à mon épaule droite. Le soleil n'était pas encore à son zénith mais il ne tarderait plus. J'approchais d'un massif de plantes isolé du reste de la flore. C'était une espèce dont les feuilles faisaient un mètre de longueur sur 60 centimètres de large. Elle était composée d'une multitude de ces feuilles dont l'extrémité était colorée de rouge-orangé. Je savais qu'elle avait besoin de beaucoup de lumière pour grandir, d'ailleurs celle-là devait bien avoir 3 ou 4 ans tout au plus, cependant je ne me rappelais plus de son nom, compliqué comme d'habitude. Équipée d'un de ces appareils photos derniers cri, je pris une photo. Je devais ressembler à une touriste telle que j'étais mais après tout c'était un peu ce que j'étais.

Après avoir fait le tour de quelques plantes telles que celle-ci, mes oreilles, maintenant sensibles à tout ce qui m'entourait, entendirent le bruit d'un ATV Grinder débarquer dans la zone, que les militaires avec lesquels j'avais débarqué couvraient. Il faisait un bruit désagréable pour mon ouïe plutôt fine à présent et d'un bref coup, je tournais mon regard vers celui-ci, la scène ne présentait rien de bon. Je me trouvais à environ 150 mètre de là mais comprenait très bien ce qui se passait : un homme couver de sang et, semblerait-il, en très mauvais état. J'entendis que se disaient les deux hommes non loin du jeune soldat étendu sur le sol poudreux. Le médecin ne prédisait rien de très positif, je me sentis soudainement mal pour le blessé, bien que j'eus une aversion particulière pour ces gens, je n'en étais pas pour le moins sensible à ce qu'il pouvait leur arriver, surtout dans ces circonstances. C'était l'attaque de plusieurs animaux sauvages, une meute de loup-vipères d'après ce que j'entendis, qui avait causé sa perte. D'ailleurs, le docteur n'eus même le temps de terminer sa phrase que le Colonel Smarrow avait déjà abattu l'homme en fin de vie. Le coup de feu, violent, avait fait frémisser mes oreilles. Je ne comprenais pas vraiment son geste, cet homme me paraissait tellement sûr de lui, peut-être un peu trop, sans doute était-ce mieux ainsi. Je ne voulus pas me mêler à cette histoire, je sentais très bien qu'on m'enverrait paitre alors à quoi bon. Gardant ces images dans ma tête je cherchai à revenir à ma vrai position et recommençais mon inspection durant quelques heures avant d'aller me remplir un peu l'estomac. Mes sens étaient en éveille et le goût des chose me parut bien plus prononcé qu'à l'habitude. Arrachant avec force et voracité, à ma grande surprise, un morceau de sandwich, la saveur salée extrêmement prononcée m'arracha une grimace. J'avalais malgré tout, me forçant à finir ensuite le petit sandwich que j'avais entamé avant de remplir mon sac de fruits. Pommes, poires, bananes, tout était au rendez-vous. D'après moi, le sucré serait plus agréable et j'en prenais une quantité nécessaire afin d'assouvir mon incroyable faim. Mon ventre criait famine comme jamais. La cantine aménagée était beaucoup trop bruyante pour moi, aussi je sortis de celle-ci pour m'éclipser dans un coin, me concentrant pour essayer de limiter ces incessant bruits sourds, dût aux moteurs et appareils, qui m'emplissaient la tête. Plantant mes canines, plus imposantes que n'importe quel humain, dans une première pomme, je l'eus finis en un rien de temps alors qu'il m'en aurait fallut le quadruple en temps normal. Les fruits se suivirent, envahissant ma bouche de cette saveur sucrée et d'autant plus agréable. Il fallut bien un moment où j'en eus finis et que mon estomac fut rassasié de ce repas. La chaleur montait en chiffre au grès du soleil qui avait atteint son zénith et projetait toute sa luminosité et son énergie sur la base. Tout le monde avait chaud. Je me sentais encore suffisamment à l'aise pour me promener en plein soleil sans souffrir. Peut-être était-ce ce corps qui était adapté à ce climat et je n'en doutais pas en réalité.

Le reste de la journée se passa assez rapidement. Afin de me rendre un minimum utile, j'effectuais quelques prélèvements ça et là d'eau, de terre afin d'en analyser la composition ainsi que pour savoir s'il n'y avait aucun risque, que ce soit d'explosion au contact de telle ou telle substance ou même d'intoxication, au niveau du sol où nous comptions installer la base. Il était toujours mieux de savoir où l'on posait ses fesses. Terre volcanique, Pandora aurait peut-être quelques surprises à nous offrir. Durant cette après-midi de tests en tout genre, j'eus d'ailleurs la chance, comme bien d'autre d'ailleurs, de pouvoir observer un Banshee voler au dessus de nos tête. Il possédait des écailles vert-bleutées qui reflétaient incroyablement au soleil. Il devait être à environ 300 mètres d'altitude et ne s'aperçut de la présence de la base qu'à la dernière minute. Il décrocha d'ailleurs un cri strident, comme s'il prévenait les autres de son espèce d'un danger quelconque. J'eus un haut le cœur en l'entendant tandis qu'il continuait sa route sans prêter plus attention aux navettes.


Fepixx
Après deux heures de ce travail, il remarqua qu'il était presque midi et que le soleil tapait plus fort que jamais. Il était littéralement trempé de sueur. Il ferait bon de prendre une douche... Il remonta et redémarra le véhicule afin de rentrer à la "base".

En approchant, il vit que c'était devenu un début de base, avec une piste pour les hélicoptères qui étaient en train d'être assemblés par les techniciens, un logement sécurisé déjà équipé de sa porte de dépressurisation, une cabane et une tente venaient d'êtres mis en place.

Temps depuis le début de l'Opération : 3 heures et 28 minutes.

Ils étaient dans les temps, d'ici la soirée il y aurait d'autres logements mis en places et peut-être une cantine. En attendant, Fepixx dû demander de la nourriture au gestionnaire. Ce dernier lui tendit un sandwich et une boisson d'eau sucrée, pour donner des forces. Le pire ennemi d'un militaire était la fatigue,encore plus sur cette lune où un faux-pas équivalait à la mort. Il s'assit à même le sol contre la cabane pour pouvoir manger tranquillement.

Après avoir mangé, il reçut des instructions sur son PDA : il devait superviser le transport du matériel dans des zones sécurisées prévue pour. Cette activité promettait d'être un enfer, notamment sous ce soleil de plomb, à son zénith. Mais il ne fallait pas discuter les ordres et il se mit donc à la tâche avec l'aide de quelques véhicules.


Smarrow
Le rêve du paradis avait vite laissé place à la réalité: un endroit hostile et très dangereux. Cet homme qu'il venait d'abattre, faisait parti des meilleures unités sur Terre. Les soldats d'élite, la crème de la crème. Il était arrivé sur Pandora depuis moins d'une heure, et ce fut le temps dont elle eut besoin pour le tuer.
Le paradis ne voulait pas des hommes, véritables monstres, et il ne voulait pas de Smarrow. Il n'aurait donc aucune chance de gagner une nouvelle vie ?

Le médecin emmena le corps un peu plus loin, et deux soldats commencèrent a creuser sa tombe.
Le colonel leur demanda de ne pas reboucher le trou jusqu'au lendemain, craignant que d'autres viennent rejoindre la dépouille au fond.

Le sergent Fepixx alla ensuite à sa rencontre, pour lui faire son rapport et lui donner les infos sur le point d'eau. Puis il lui demanda de placer des balises sur chaque tas de matériel que la navette avait largué, pour que les techniciens ne se perdent pas en les cherchant.

Pendant ces quelques heures, Smarrow dirigea les opérations: la construction du logement sécurisé avec ses dortoirs, et son compartiment de dépressurisation..
Ils aménagèrent aussi une tente de premiers secours, juste a coté, et une petite cabane où avait été placé les quelques sommaires provisions dont ils disposaient.
Puis les véhicules, quads, 4x4 et AMP furent rangés dans un parking improvisé. Enfin, on installa une sorte de piste d'atrerrissage/décollage, et on commença a assembler deux scorpions gunship, 2 hélicoptères de combats qui survolerait la zone jour et nuit pour effectuer une surveillance.

Mis a part l'incident avec la meute de viperwolves, tout se passait plutôt bien.
On pouvait dire que l'opération était un succès.

Le sergent Fepixx revint, ayant fini sa mission. Il mangea un petit peu et se mis directement à aider et diriger les techniciens et soldats qui amenaient le matériel.

Les techniciens informèrent Smarrow qu'ils avaient finit de vérifier le logement sécurisé, et que celui-ci était opérationnel.

Il jeta un coup d'œil aux alentours. Tous travaillaient très dur, et très bien. Tout était très organisé, personne n'avait les mains dans les poches.
Sauf peut-être la grande femme bleue, qu'il apercevait au loin, qui se promenait et regardait les plantes, les fleures..
Il n'y avait eu aucun contact avec les Na'vis.

L'opération était un succès, et Smarrow en fut très heureux.


Larkin
La nuit était tombé quand Larkin peu enfin se poser. Il était exténué et son corps était douloureux. Il venait d’accomplir sa première mission depuis des années. Il aurait voulu se reposer, mais il savait qu’il avait encore une dernière chose à accomplir, un des actes les plus importants pour un force spécial.

Larkin attendit prêt de l’hélicoptère avec les autres membres de son équipe. Seul le sergent colonel était partit. Mais il revint vite avec une mallette à la main. Il la posa dans le scorpion et monta dedans. Puis il se retourna vers ses 4 soldats.


-aujourd’hui nous avons accomplit notre première mission, nous avons effectué notre baptême du feu, et comme le veut la tradition chez les forces spéciales, cela se fête dignement. A partir d’aujourd’hui, nous sommes une équipe, nous savons que nous pourrons compter les uns sur les autres.

Il ouvrit la mallette et en sortit un pot de cirage noir qu’il ouvrit, ainsi que 5 couteau de chasse. Il passa devant chacun des soldats, qui enleva son masque à ce moment là, afin de lui faire deux traits au cirage de chaque coté du visage. Puis il lui remit le couteau. Larkin et les autres étaient au garde-à-vous, l’air sérieux et solennel.

Quand il eu finit, le Sergent-major Midas regarda chacun des soldats devant lui.


-aujourd’hui, nous formons officiellement la première unité des forces spéciales de Pandora, nous sommes le premier ranger de Pandora.

Il salua ses hommes et repartit, rapidement suivit par les autres et Larkin qui voulaient vraiment allez dormir. Dans son lit, Larkin examina le couteau, la lame était une superbe lame de chasse, quand au manche, on pouvait voir graver dessus « 1RP » ce qui voulait dire, 1er ranger de Pandora. Larkin s’endormit paisiblement, il était enfin chez lui, entouré de soldats.


Smarrow
Le soir venu, les résultats se révélaient etre mieux que prévus.
3 baraquements sécurisés était montés, les scorpions volaient au dessus d'eux, plusieures points stratégiques étaient maintenant munis de petites tourelles, et on avait meme entammé la construction d'un rampart.

Il donna des informations sur la situation au commandant Jones, resté a bord de La Caravelle, puis il demanda a tous les soldats qui n'etaient pas de garde de se regrouper prets du baraquement numéro 1.

Il voulait leur dire quelque chose, les encourager.. Même s'il ne savait pas bien quoi leur dire. Une fois tous les hommes arrivés, il commenca:
Pandora nous a acceuillis avec des loups énormes a 6 pattes. Un d'entre nous y a perdu la vie. Je doute que sa mère l'aurait reconnu. C'est vrai qu'on a tous vus des meilleurs acceuils que celui là, n'est-ce pas ?

Quelques visages dans la foule souriaient, d'autres souriaent beaucoup moins, ils avait surement du voir l'homme en question..

Il continua:
Mais mis à part cet incident, tout c'est bien passé, non ? Vous avez fait du très bon travail. Je savais que j'avais les meilleures soldats de la Terre, je suis tout de même impressionné par le resultat de votre boulot.
Je dois avouer que c'est très plaisant de travailler avec vous messieurs, parceque j'aime les choses faites correctement. Regardez autour de vous. Je me sent déjà chez moi!
Je suis sure qu'avec des hommes comme vous, nous iront loin. Donnont un autre tournant à l'histoire de l'humanitée sur Pandora. Donnont lui une histoire noble, pure, humaine.
C'est pourquoi je baptise aujourd'hui cette nouvelle base "New Hope", le nouvel espoir. Parceque c'est ce qu'est Pandora, un espoir, et pas l'enfer.
Maintenant mes camarades, allez vous reposer. Dans 8h30, tout le monde se remet au boulot!


Il souriat, puis ajouta : Repos.


Fepixx
Quelques heures après, la nuit se mit à tomber. Le camp fut éclairé avec quelques spots lumineux. Un hélico décolla pour faire une ronde nocturne et des tours de gardes avaient été organisés autour du campement. Une enceinte avait commencé d'être construite mais elle n'était pas encore finie, loin de là donc il était préférable que tout le monde fasse attention aux prédateurs de Pandora et aux éventuels Na'vis. En effet, il y avait eu une violente escarmouche entre un hélicoptère et des Ikrans sauvages mais il n'y avait eu aucun perte du côté militaire.

Les humains qui n'étaient pas de garde étaient rassemblés dans les baraquements à côté du Colonel. Ce dernier tenait à prononcer prononcer quelques mots. Fepixx se trouva un coin de mur où se poser et écouta le chef :

Pandora nous a accueillis avec des loups énormes a 6 pattes. Un d'entre nous y a perdu la vie. Je doute que sa mère l'aurait reconnu. C'est vrai qu'on a tous vus des meilleurs accueils que celui là, n'est-ce pas ?

Fepixx vit que quelques soldats ricanaient mais ceux qui étaient présents lors de cette scène avaient un air très grave. Le Colonel semblait désapprouver les hommes qui souriaient mais il continua tout de même :

Mais mis à part cet incident, tout c'est bien passé, non ? Vous avez fait du très bon travail. Je savais que j'avais les meilleures soldats de la Terre, je suis tout de même impressionné par le résultat de votre boulot.
Je dois avouer que c'est très plaisant de travailler avec vous messieurs, parce que j'aime les choses faites correctement. Regardez autour de vous. Je me sent déjà chez moi!
Je suis sure qu'avec des hommes comme vous, nous iront loin. Donnons un autre tournant à l'histoire de l'humanité sur Pandora. Donnons lui une histoire noble, pure, humaine.
C'est pourquoi je baptise aujourd'hui cette nouvelle base "New Hope", le nouvel espoir. Parce que c'est ce qu'est Pandora, un espoir, et pas l'enfer.
Maintenant mes camarades, allez vous reposer. Dans 8h30, tout le monde se remet au boulot!


Il sourit, puis ajouta : Repos.


Lexi Spencer
La nuit tomba peu de temps après, j'avoue que je commençais à tomber de fatigue et une bonne nuit de sommeil ne serait pas de refus, bien au contraire. Des cabines avaient été installée en attendant la finition de la base, c'était un nombre suffisant pour accueillir tout le monde. Même si je n'avais que très peu participé à l'installation de celles-ci, j'osais espérer que ma contribution sur le point scientifique avait été suffisamment utile. Je pénétrais dès à présent dans la structure précédemment mise en place afin de me rendre vers une des cabines quand mon attention se posa sur le Colonel Smarrow qui faisait un discours pour tous les militaires présents dans une grande salle qui semblait servir pour des réunions peut-être. Avec curiosité, je restais dans un coin de la pièce à l'écouter attentivement, il faut croire que ce colonel avait peut-être un cœur au fond, derrière ce visage que je trouvais terrifiant. Dominant tout le monde de quelques têtes, je tenais à rester discrète pendant qu'il parlait craignant de ne pas être invitée mais cela ne fut que de courte durée. "Repos", vous avez raison, j'en avais besoin, d'un peu de repos. Je crois que la manipulation de mon Avatar avait quelques peu épuisé mes ressources. Quittant la salle, je faisais le tour des cabines libres. C'était de petites pièces ayant pour seul ameublements deux lits superposés. Peu m'importais avec qui je me trouverais, je n'aurais qu'à m'endormir pour me réveiller dans la Caravelle et retourner me coucher une nouvelle fois tranquillement dans mes quartiers. Ce que je fis bien évidemment. En fait, en quelques sortes, j'étais à deux endroits en même temps. C'était une sensation assez plaisante, comme ci je me trouvais plongée dans un film de science fiction.

Comme prévu, après avoir fermé les yeux, encore dans le corps de mon Avatar, je les rouvris retrouvant en face de moi, le fer du caisson de transfère. De mon bras, je poussais le couvercle afin d'en sortir. Des scientifiques m'attendaient et furent contents que tout se soit passé comme prévu. Je répondis à certaines de leur questions, eux qui n'avaient encore jamais posés un pied sur Pandora, puis me précipita dans ma chambre pour me laisser tomber dans mon lit. Il ne me fallut pas beaucoup de temps avant que je ne m'assoupisse et tombe dans un sommeil des plus profonds pourtant je n'étais pas au bout de mes aventures, j'en étais certaine. Les heures défilèrent très rapidement, aussi quand il fut l'heure de me réveiller, à bord de la Caravelle, j'eus la désagréable impression que je ne m'étais endormie que peu de temps avant que la sonnerie de mon réveil ne retentisse. Comme d'habitude, j'émis un étrange grognement d'embêtement avant de me tirer difficilement de mon lit. J'étais encore habillée, n'avais pas pris le temps de me mettre en robe de nuit la veille lorsque j'étais entrée dans ma chambre. Un brin de toilette s'imposait. Je me privais de petit déjeuner, après tout, mon corps de Na'vi aurait faim alors à quoi bon perdre du temps maintenant. Je rejoins rapidement la salle des caissons et entrai dans celui qui m'était, en quelques sortes, destiné. Je connaissais déjà son utilisation et même si un des techniciens était à côté, je ne me privai pas d'essayer de mettre en marche l'appareil sous son regard observateur avant de m'enfermer et de suivre la procédure habituelle qui me transporta d'un univers à un autre.


Fepixx
Après les quelques mots du Colonel, Fepixx se dirigea vers le réfectoire improvisé avec quelques tables à l'intérieur des locaux sécurisés. Il mangea un peu en échangeant quelques plaisanteries vaseuses avec des hommes puis un des gardes de nuit déclara :
"Extinction des feux dans 10 minutes".

Fepixx rechercha un lit qui n'était pas déjà pris et il tomba sur un lit superposé vide, près d'une fenêtre. Il se hissa sur le lit du dessus après s'être mis en caleçon et avoir posé le reste de ses affaires avec son sac, au pied du lit. Une fois glissé dans les draps qui sentaient le neuf-"un peu trop d'ailleurs" se dit le soldat- il se mit à regarder par la vitre. Il voyait une patrouille de trois soldats avec leurs lampes illuminant la nuit devant le canon de leurs fusils. Il avait aussi une vue sur le bout de clôture en construction et les tourelles automatiques placées sur les poteaux de fer plantés dans le sol.

Finalement Fepixx se retourna du côté de la salle plongée dans l'obscurité. Il entendait les ronflements de certains hommes endormis. Il décida de dormir sur-le-champs, la journée du lendemain allait être rude.


Fepixx
Fepixx se leva d'assez bonne humeur. Il prit son petit-déjeuner sur une table où un technicien s'évertuait à parler des merveilles de technologie qu'étaient les AMP. On aurait presque pu croire qu'il n'en avait jamais vu. Fepixx avala son café et son croissant en quatrième vitesse et se leva pour sortir. En récupérant son masque et laissant son sac, il remarqua que le soleil brillait.

"Encore une bonne journée qui commence,pensa-t-il."

En sortant du sas, il se prit une violente rafale de vent en pleine tronche. Il agrippa sa casquette pour éviter qu'elle ne s'envole. C'est au même moment qu'il remarqua que tout n'allait pas si bien en fait. Les hélicoptères qui étaient chargés de rassembler le matériel dispersé dans la zone étaient cloués au sol.
Il faudrait utiliser les véhicules, ce qui ralentirait considérablement l'opération. De plus, les nuages gris qui approchaient ne li disaient rien qui vaille. En effet, une heure après, la pluie se mit à tomber. Pas une petite bise, mais des énormes gouttes qui tombaient quand même assez violemment. Avec le vent, cela glaçait les hommes qui tentaient de travailler convenablement. Quelqu'un de superstitieux aurait pu croire qu'un dieu s'acharnait sur eux. Fepixx n'était pas croyant et il savait que ce n'était que les éléments naturels qui faisaient, somme toute, leur boulot.

La mâtinée passa au ralenti et apparemment le Colonel en était furieux. Au temps de midi, tout le mondé était plutôt morose et l'air dans le baraquement était trouble, à cause de la vapeur qui se dégageait des vêtements en train de sécher sur les radiateurs électriques.

Environ une demi-heure après, la pluie cessa brusquement et comme par magie, le vent aussi. Finalement, la journée ne serait peut-être pas perdue. Les hommes se remirent à ériger l'enceinte et les défenses
Pendant ce temps là, Fepixx aidé de deux homme était à bord d'un des deux hélicos chargés de ramasser le matos de la zone. Le boulot du sergent se résumait à charger l'hélico autant qu'il pouvait l'être et tout décharger à la base. Cela lui convenait parfaitement.


Fepixx
Pendant plusieurs heures, Fepixx rassemble le matériel, aidé par l'hélico. Toutefois, le nuit tomba et ils durent cesser le travail. En rentrant, Fepixx remarqua que de puissants projecteurs étaient activés et que de nombreux hommes étaient affairés par la préparation des défenses. C'était sûrement pour pallier au fait que le travail n'avait pas avancé le matin même.
Après avoir atterri et déposé son matériel embarqué lors du dernier voyage, le Sergent rentra manger un bout dans la "cantine" de la base et il ressortit pour donner un coup de main aux soldats. En avançant, il remarqua que les AMP amenaient le grillage dense aux techniciens et ils se chargeaient de le tenir le temps que cela soit soudé. D'autres techniciens fixaient des tourelles automatiques au-dessus du grillage.

Ces tourelles n'étaient pas dangereuse pour l'homme car elles avait été programmées exprès pour reconnaître les prédateurs naturels avec l'aide d'une caméra montée sur le côté. Toutefois elles avaient aussi un programme d'attaque contre des Na'vis mais il n'était pas activé car leur position "politique" n'était pas encore définie. S'ils étaient reconnus comme ennemis, le programme serait activé et mes Na'vis n'auraient plus qu'à faire leurs prières avant d'approcher.

D'autres soldats portaient les répulseurs soniques déjà assemblés près du grillage. Ces bidules étaient censé émettre un son extrêmement désagréable pour les animaux mais sans effets sur l'Homme ou les Na'vis. Ils devaient inciter les animaux de Pandora à éviter cette zone. Ces machines devaient être placée régulièrement le long du grillage.

Enfin les miradors de métal, placés à égale distance le long du grillage et communiquant entre eux par une passerelle fixée à la clôture, au-dessus d'une éventuelle porte d'entrée, se servaient de détecteurs de mouvements, les détecteurs de chaleur étant presque inutiles sur la Lune du moins pendant la journée.

Fepixx aida donc les hommes à porter les répulseurs soniques pendant que le grillage se construisait et s'éloignait petit à petit du Centre d'Opérations. Il était environ 3 heures du matin heure terrestre lorsque le Colonel ordonna à tout le monde de cesser le travail. Chaque homme épuisé était ravi de cet arrêt même s'il savait qu'il devrait continuer plus tard la même journée. Tous les hommes sauf les sentinelles fraîches rentrèrent pour se coucher. Fepixx avait mal aux bras à force d'avoir porté ces saloperies de machines. Il avança vers le lit qu'l avait pris la veille mais étant trop épuisé pour se hisser sur celui du dessus, il enleva simplement ses chaussures et s'écroula sur celui du bas où il s'endormit dans la seconde.


Commandant Malaki Jones

Le lendemain le temps n'était guère clément, Dieu envoyait ses premières épreuves et le vent mêlé à la pluie n'arrangeaient pas les militaires, ni même les civils qui devaient travailler. Il apercevait la serveuse mignonne qu'il tentait de séduire et dont il n'avait pas mémorisé le nom, elle bataillait sous les rafales de vent qui collaient ses vêtements légers contre son corps charmant. Il resta un long moment à l'observer avec délectation.

Finalement il descendit de sa bulle emplie de rêves que l'Eglise aurait sans doute désapprouvé et alla se restaurer, dormir presque 12h l'avait affamé plus qu'il ne l'aurait cru. Il dut se servir lui même, tout le monde étant fort occupé dehors avec les intempéries, et il le fit en grommelant à qui voulait l'entendre, que ce n'était pas normal. Il n'y eut, fort heureusement pour lui sans doute, personne pour l'entendre.

La journée avança sans qu'on le vit sortir de la cabine de commandement où il vérifiait de temps en temps des appareils censés détecter les zones de chaleur, telles que des animaux ou même des autochtones voulant s'approcher de la base, cela justifiait, plus ou moins, le fait qu'il ne descende pas dans la boue avec les autres, ça et son incompétence devenue notoire.

C'est bien après la tombée de la nuit, bien après qu'il se soit endormi du sommeil du juste, que la base fut enfin installée de façon quasi complète.
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