Une belle journée RP (funreal,Tsey'ney)

Le soleil n’éclairait pas encore la foret, celle-ci dormait tous comme funreal. Le vent doux caressait le corps encore endormie du jeune na’vi. Quand la chaleur fut à son intensité normale, celle-ci le réveilla. Un être bleu se leva de son hamac fait a partir de liane, on pouvait voir sur son visage que la fatigue pesait. Funreal se mit a marcher doucement sur une des nombreuses branches qui ornait cette arbre, il était courbaturé un peut de partout. Cela était du au combat acharne qu’il avait eu avec Athos son ikran, en marchant sur cette épaisse branche il sentait que la mousse était humide, il en déduisit qu’il avait plus dans la nuit. Arrivant au bout de celle-ci il sauta et s’enfonça dans la terre boueuse encore bien mouille. La journée venait a peine de commencer et funreal en avait déjà marre. Il se dit que seul un petit tour de ikran pourrait lui remonter le moral, c’est ainsi qu’il se dirigea donc vers les montagnes flottantes de Pandora. D’un pied léger il alla le plus vite possible rejoindre sa monture, celle-ci devait sûrement en train de voler sans lui se disait le jeune na’vi. Il accélérait pour ne pas louper une seconde de se qui s’annonçait être une très belle journée. Sur son passage il croisa un groupe de na’vi qui se baladait dans la foret il leur fit un signe en guise de bonjour puis continua sa route. Sur son chemin il vit une petite rivière, il décida de faire une halte pour se rafraîchir un peut, son corps plongea dans l’eau d’une telle transparence que l’on pouvait voir les galets même de la surface. Apres avoir étancher sa soif il se remit en route, quelques longues minutes plus tards il vit enfin les montagnes. Il se souvenait du passage a emprunté, Dras-gun le lui avait indiquer, l’air soufflait un peut plus que dans la foret. Ce qui rendait instable les rochers tenus par les larges lianes. Mais il était vraiment décidé, un peut prés 250 mètres plus haut funreal ressenti une douleur dans la jambe droite, il n’était pas encore rétablie de son rituel. Forcer a s’arrêter il décida de l’appeler de son rocher, poussant un cri strident plusieurs fois, il attendait désespérément que Athos vienne l’aider. Soudain alors qu’il perdait patience il vit une lueur grise au loin, aucun doute c’était lui. Le ikran s’approchait, déployant c’est ailes pour freiner sa course, funreal s’approcha, caressant sa peaux froide, sentant sa respiration régulière, il prit sa tresse et fit le lien avec athos, un énorme frisson envahissait son corps, puis ils se jetèrent dans le vide.
Le soleil était très haut dans le ciel, le na’vi et sa monture volaient calmement tout deux profitaient pleinement de cette journée, slaloment autour des montagne flottantes, soudain ils passèrent au dessus de gros rocher en forme d’arc de cercle, il sentit une profonde sensation inexplicable, ils survolaient l’arbre des âme. Athos se posa sur un rocher qui surplombait le sanctuaire magnifique, son cavalier alla prié, puis revint près de sa monture. Les deux êtres se perdaient dans leur penser. Le temps passait à une vitesse affolante, il était déjà tard et funreal ne voulais pas trop tarder. Ils se remirent en route tout en jetant un regard sur l’arbre des âmes avant de le voir disparaître. Ce fut un moment de pure plaisirs entre le na’vi et son ikran. Celui-ci se posa sur le sol laissant son cavalier descendre lentement. Funreal le regarda, le caressa puis s’en alla en jetant un regard sur Athos avant de le voir disparaître dans les nuages…

L'aire commençait à se faire frais, les jambes de funreal se faisaient de plus en plus lourde. Il pensait y arrive seul, son ikran la donc déposer au pieds des montagnes, mais il aurait du l'accompagner jusqu'à son arbre. La nuit commençait à tomber, les bruits d'animaux se firent entendre. Le jeune na'vi était méfiant, a l'affût du moindre bruit il ne voulait pas retomber encore une fois sur un palulukan. Car cette fois il était seul et jake ne sera pas la pour l'aider…
Soudain la forêt se mis doucement a s’illuminer, les couleurs étaient magnifique, il y avait du rose du bleu tous sa faisant un mélange de toute beauté. Les grands pieds de funreal s’enfonçait dans la terre ce qui le ralentissait considérablement, il décida de passer par les arbre, ce sera plus rapide et plus sécurisé. Il courait aussi vite qu’il pouvait quand soudain il entendit un bruit étrange, il connaissait celui-ci c’était une meute de nantang…
Il était entoure de part et d’autre, seul contre tous, pour lui c’était la fin. Quand soudain il vit surgir un ikran chevaucher par un na’vi…

Tsey'Ney attendait près de l'arbre des âmes, le regardant de loin, sentant la présence d'Eywa. Les frissons l'envahirent et ses yeux s'écarquillèrent. Il eut d'un coup soif d'aventures, d'aventures hors du commun, comme celles qu'ont lui avait contées avant le temps du Grand Chagrin. Il songeait à être Olo'Eyctan après avoir dompté Toruk, à erradiquer de la surface de Pandora les quelques humains encore menaçants pour les Na'Vi. Mais ce n'était que songes. Il était fier du cavalier de la dernère ombre qui ne se montrait pas en orgueil et qui aidait qui avait besoin de son aide. Rêvassant, il sentit un vent frais, le vent d'un déploiement d'ailes. Il regarda l'ombre de l'ikran qui lui passait au dessus et s'aperçut qu'il était unique en son genre. C'était un Ikran gris, avec l'oeil vif et nerveux, mais qui néanmoins ne paraîssait pas sauvage. Lorsque son chasseur descendit de son dos, il fut surpris de la jeunesse de celui-ci. Un chasseur aussi jeune que lui-même existait bien, et même s'il devait avoir une ou deux années vécues de plus que lui, il se vit scellant une amitié certaine avec le Na'Vi situé en contre-bas. Il s'allongea sur le ventre, sentant la fraîche odeur des herbes hautes, présentent sur les rochers aux alentours de l'arbre des âmes. Il observa l'Ikran et son jeune chasseur, leur Tsahaylu dégageait l'évidence de leur vie en communauté. Longtemps il resta dans cette position, à regarder le Na'Vi faire ses prières, et l'Ikran s'envoler puis revenir auprès de son chasseur.

Lorsque le soleil se mit à décliner, Tsey'Ney vit le chasseur s'en aller sur le dos de son Ikran. Il appella alors Kaashi et pris l'envol, prenant soin de rester assez loin du Na'vi pour qu'il ne le remarque pas, et assez près pour continuer à le suivre. Il les virent se poser, doucement, tranquillement, et vit ensuite l'Ikran s'échapper à travers les nuages, laissant ainsi son chasseur seul. Tsey'Ney alla se poser non loin d'où se trouver le jeune Na'Vi. Il demanda à Kaashi de l'attendre puis descendit pour enlever le lien.

Il appella alors le Na'Vi qu'il avait épier toute la journée:

Tsmukan! Attends moi je t'en prie, j'ai à te parler!

Il avait eu peur, en disant cela, de paraître autoritaire, ou insolent. Les lumières du sol l'éblouissaient et il voyait au loin un troupeau d'animaux qu'il n'arrivait pas encore à reconnaître. Le Na'Vi continuait de courir, il n'avait surement pas du l'entendre. Alors il se mis à courir de la plus grande vitesse à laquelle il pouvait aller.

Se voyant disctancé, il appella Kaashi et se mis à la poursuite du jeune chasseur ...

’’Se voyant distancé, il appela Kaashi et se mis à la poursuite du jeune chasseur ...’’

Funreal courait si vite que l’on avait l’impression que la mort voulait l’attraper. L’adrénaline envahissait son corps, il ne pouvait s’arrêter, les nantangs seraient trop heureux d’avoir un tel festin. Puis il avait d’autre projet que de finir dans l’estomac d’une meute de loups affamer. En jetant un coup d’œil discret derrière lui il vit une silhouette, celle d’un ikran et d’un na’vi.
Serais ce de l’aide il n’en savait rien, son cerveau ne réfléchissait plus, la meute se rapprochait dangereusement…

Tsmukan aide moi je t’en supplie !!! Cria t-il en courant.

La forêt était épaisse dans cette zone, le ikran ne pouvait s’approcher du sol, il devait donc trouver un endroit découvert. Mais un problème s’imposait a lui, son corps était résistant au longue distance mais l’adrénaline l’épuisait plus vite que prévue. C’était donc en urgence qu’il devait trouver cet emplacement, Funreal commençait à suffoquer, la situation devenait critique. Les troncs étaient glissants et sans faire attention il piétina de la mousse humide. Il dégringola puis s’écrasa sur le sol, en se relevant il aperçu toujours la silhouette du ikran, apparemment les nantangs n’avaient pas eu le courage de sauter…

Son corps était rempli de boue, heureusement une rivière se trouvait non loin de sa position. En arrivant sur les lieux, il entendit des rugissement, puis l’espace d’un instant en se retournant il vit une dizaine de nantangs, les même apparemment. C’est ainsi qu’il se remit a courir en suppliant au na’vi de l’aider. Les arbres se faisaient plus rare, l’herbe plus présente, un près était non loin d’ici. Funreal saisi son poignard et esquissa un sourire, il se doutait que c’est ici que tout allait se jouer.
Quelque mettre plus loin il arriva dans le champs, il fit volte face et planta son poignard dans l’œil de la bête tout en courant. Arrivant au millieu du champs entouré par une vingtaine de nantangs il cria une dernière fois

Tsmukan aide moi je t’en supplie !!!

"Tsmukan aide moi je t’en supplie !!! "

Ce cri résonna dans le crâne de Tsey'Ney plusieurs fois. Un frère était au sol et en danger de mourir. Il poursuivit sa course, le suivant du mieux qu'il pouvait, ne se fiant qu'à la silouhette qu'il voyait sauter le plus rapidement possible par dessus tout obstacle à sa course. Lorsqu'il le vit tomber, il eut plus peur pour un frère que jamais. Il ne le connaissais pas, mais Eywa n'avais surement pas décidé de lui donner la vie pour que des bêtes affamées la lui reprennent. Le Na'vi s'isola alors dans un espace sans arbre, c'était là l'occasion de lui prêter main forte et surtout de lui laisser le temps de reprendre son souffle, et d'appeller son ikran pour qu'il entre lui aussi dans la bataille.
Au moment où il réfléchit à comment se poser de la meilleure des manières, il entendit encore une fois ce cri, qui avait l'écho d'un cri de désespoir: "Tsmukan aide moi je t’en supplie !!!".

Ce cri qui avait déchiré la lumineuse nuit, qui avait même fait frémir les nantangs encerclant pourtant ce qu'ils allaient essayer de dévorer, lui coupa le souffle. Sans prendre attention où il allait poser les pieds, Tsey'Ney sauta de son ikran, dégaina son arc puis le banda en prenant bien soin de placer la flêche dans la ligne de mire qui allait traverser la bête féroce la plus proche du jeune chasseur. Tout en coutinuant sa chute il relâcha brusquement la pression et la flêche partie se loger en travers du corps de l'animal, le fixant au sol. Lorsque Tsey'Ney vit le meurtre qu'il venait de commettre, il pensa à Eywa. Mais le temps n'était pas aux prières. Ses pieds touchèrent enfin le sol, mais, vu qu'il manquait tout de même d'entraînement et qu'il était encore jeune, il dû s'aider de son poing pour ne pas tomber. Les nantangs, le voyant ainsi courbés en profitèrent pour lui sauter dessus. Par chance il eut le reflexe de donner un grand coup de son arc au milieu même de la poitrine des deux carnivores. Ne lâchant pas prises, les nantangs se précipitèrent sur les deux Na'vi maintenant rassemblés, mais Kaashi, qui n'avait pas quitté la scène des yeux, se précipita pour aller défendre son chasseur. Les loups, impressionés tout d'abord, reculèrent en hâte, laissant le temps à Tsey'Ney d'aller à la rencontre du chasseur: "Tsmukan, je suis là, nous allons nous en sortir, ne crains rien! Eywa ne nous laisserai pas périr ainsi..."

"Tsmukan, je suis là, nous allons nous en sortir, ne crains rien! Eywa ne nous laisserai pas périr ainsi..."

Sur ces mots Funreal fut vraiment ému, il ne le connaissait même pas, et il risque quand même sa vie pour lui.

-Eywa veille sur nous tsmukan, rien ne peut nous arriver.

Apres avoir prononcer cette phrase les deux na’vi se colère dos a dos, ce qui permettait une vue a 360 degrés. Son compagnon avait déjà l’arc bander près a tire, Funreal fit de même. La tension était tel que il avait du mal a tenir debout, la meute affamé avançait doucement, comme ci elle préparait une attaque surprise. Les deux na’vi décochèrent leurs flèches presque en même temps, ce qui fit deux victimes. Les nantangs je jetèrent a toute allure sur les jeune na’vi, Funreal poussa un cri, sortit son couteau et fonça sur les bête acharner, il ne pensait plus a autre choses c’est comme si il rentrait dans une folie meurtrière. Cependant il n’oubliai pas que la protection de son compagnon passait avant tout, tout en se battant il jetait des coup d’œil discret pour voir si il s’en sortait. Mais en se retournant un des nantang le surpris et lui fit une profonde entaille dans le bras. Son sang coulait abondamment, il vit son compagnon et lui cria :

Tsmukan je te protégerais jusqu’a la mort si il le faut tu m’entend !!! A la mort !!!!!

C’est après cette phrase que Funreal se mit à courir vers son compagnon pour se regrouper.
Si ils continuaient à cette vitesse, ils allaient se fatiguer trop, vite il fallait trouver une solution rapidement. Les bête tournaient autour des na’vi prêt a bondir et a les dévorés, Funreal regarda son compagnon et lui dit :

Avant que tout cela se termine j’aimerais savoir ton nom …..

"Eywa veille sur nous tsmukan, rien ne peut nous arriver."

Ces mots donnèrent le sourire à Tsey'Ney, et l'envie de se battre avec son nouveau compagnon. Rassemblés dos à dos, ils étaient prêts à toute attaque. C'est alors que les bêtes attaquèrent. Tsey'Ney vit son nouvel ami sortir son arme puis courir pour s'acharner sur ses assaillants. Ce chasseur est un dingue pensa-t-il. Et il adora la pensée qu'un chasseur aussi fou que lui se retrouve dans le même danger que lui. Ce chasseur fit des gestes dans tous les sens en se ruant sur les nantangs, il en abattit quelques uns sans même s'en rendre compte. Tsey'Ney, lui, était en position de défense, le poignard à la main, s'attendant à recevoir une attaque de tous les côtés. Ces bêtes n'étaient pas très malines car elles attaquaient tout au plus deux par deux, et se faisaient donc tuées deux par deux. Il n'en restait plus qu'une dizaine, et au moment ou Tsey'Ney se retourna pour voir ce qu'il en était de son compagnon, il le vit se faire écorcher le bras. Un fleau de sang s'en suivit. Surement la souffrance, ou alors le cri du dernier espoir força le Na'Vi à lancer :

"Tsmukan je te protégerais jusqu’a la mort si il le faut tu m’entend !!! A la mort !!!!!"

Celui qui le traitait déjà comme un frère revint vers lui, sans doute pensait il (et il avait raison) qu'à deux ils auraient plus de chance de résister à ces bêtes. Ne laissant pas le temps à Tsey'Ney d'essayer d'élaborer un plan, le Na'Vi lui dit:

"Avant que tout cela se termine j’aimerais savoir ton nom ..."

Tsey'Ney, tellement heureux de cette requête en oublia presque les nantangs qui préparaient leur attaque. Alors il sourit et commença à dire : "Je fais parti du clan des chevaucheurs d'ikran, mon nom est Ts ..."

Il fut interrompu par un nantang qui lui avait sauté sur le dos, il s'abaissa et réussit d'une manière agile à le poignarder dans le dos sans se toucher lui même. Il lança le cadavre sur un loup enragé qui allait lui sauté au visage, faisant d'une pierre deux coups. La bataille finale était engagé. Ils n'en sortiront pas indemne, c'était sur.

’’ Ils n'en sortiront pas indemne, c'était sur. ’’

Ce fus probable que les deux compagnons laisseront leurs vies sur ce champs, mais il étaient l’un comme l’autre décidé à ne pas se laisser faire. Funreal regardait son compagnon, celui-ci tomba au sol sans qu’il puisse ne l’en empêcher. Un nantang avait surgie de nul par et avait attrapé son ami, heureusement pour lui il était agile, il ne pris pas longtemps pour retourner la situation a son avantage. Leurs dernier souffle devait résonner maintenant c’était comme un jour de gloire pour les deux na’vi, la sueur de Funreal coula dans sa plaie, celle-ci commençait a provoquer une douleur intense. Son sang coulait abondamment, il prit un bout de tissu et se fit un nœud au bras pour arrêter l’hémorragie.

La meute se mit alors à foncer sur les deux compagnons, le choc fut si rude qu’ils firent un bon de 1 mètre. Leurs corps lourd s’écrasèrent sur le sol, un cri de douleur retentit dans le ciel d’un bleu magnifique. Les nantangs couraient, il avaient la faim au ventre, de la bave coulait de leur dents aiguiser comme des couteaux. Funreal pris son camarade par la main et partit en courant dans l’autre sens, son instinct lui indiquait une cascade non loin. Il n’avait pas eu tort on pouvait distinguer une magnifique couler d’eau, celle-ci était d’une couleur si profonde que l’on si perdait a l’intérieur.

-J’espère que tu aime l’eau. Répliqua t il

Les deux compagnons sautèrent de la falaise, Funreal sentit un énorme frisson dans son dos, Leurs corps traversèrent l’eau à une vitesse vertigineuse. Quelque mettre plus tard ils s’accrochèrent à une berge puis se hissèrent comme ils purent. En levant la tête il aperçue la meute au somment de la cascade, n’osant pas sauter le groupes de nantang partis dans l’autre sens. Les deux na’vi étaient soulager, enfin le mal avait lâcher prise, il pouvaient respirés. Dans un élan d’énergie, Funreal se retourna et dit :

Maintenant que tout sa est passer, peut tu me dire comment tu t’appelle tsmukan

La bataille était engagé, et les deux Na'Vi pouvaient voir les nantangs se précipiter. Surpris par son courage, il se mis face à eux, protégeant son compagnon. Mais ce dernier n'y prêta pas attention et le tira par le bras, sautant au dessus des assaillants. Ils coururent jusqu'à arriver à un cours d'eau qui semblait être plus que pur. Son compagnon le regarda droit dans les yeux et dit en haletant : "J’espère que tu aime l’eau."

Ils sautèrent sans réfléchir. Ils traversèrent l'eau froide et transparente sans grand soucis, mais furent tout de suite emportés par le courant. Grâce à un fabuleux travail d'équipe, ils réussirent à s'accrocher à la rive. Ils regardèrent alors les nantangs qui, heureusement, n'avaient pas osés sauter. Ils avaient réussis à échapper à ces bêtes qui voulaient leur peau. Les deux nouveaux compagnon croisèrent leur regard. Il apparaîssait clairement que cette épreuve fut difficile pour tous les deux. Ils étaient essouflés et fatigués, ils tressaillaient même pour se tenir à la rive. Tsey'Ney vit son compagnon sourir avant de prendre un grande inspiration pour dire : "-Maintenant que tout ça est passer, peux tu me dire comment tu t’appelles tsmukan."

Cette phrase les avaient fait rire, comme si c'était la seule raison pour laquelle ils s'étaient battus.

"-Je me nomme Tsey'Ney, et comme je te l'ai dis, je fais parti du clan des chevaucheurs d'ikran, mais je reste solitaire et je ne suis pas revenu dans mon clan depuis 6 ans... Depuis la mort de mes parents. Voilà tu sais tout de moi, ou du moins le minimum qui te permettra de te souvenir de moi. Et toi, dis moi tsmukan, qui es-tu?"

"-Je me nomme Tsey'Ney, et comme je te l'ai dis, je fais parti du clan des chevaucheurs d'ikran, mais je reste solitaire et je ne suis pas revenu dans mon clan depuis 6 ans... Depuis la mort de mes parents. Voilà tu sais tout de moi, ou du moins le minimum qui te permettra de te souvenir de moi. Et toi, dis moi tsmukan, qui es-tu?"

Tout en écoutant cette phrase Funreal compris parfaitement l’enfance difficile qu’avait eu son amie.

’’Je me prénomme Funreal et tu sais mon amie, mon enfance a vaguement ressembler a la tienne. Je fais partie du clan des chevaucheurs de ikran, tout comme toi. Mon père est mort suite à une attaque d’une meute de nantang, c’est pour cela que lorsque je me battais mes émotions avait pris le dessus. Apres le décès de mon père, je me suis mis a être solitaire, au point d’en oublier que j’existait. Mais aujourd’hui tu ma redonner l’espoirs de retrouver les miens, pour les protégés comme j’aurais du le faire. C’était la première fois que quelqu’un venait m’aider, tu est le seul a avoir risque ta vis pour moi. Et pour t’en remercier comme il se doit j’aimerais te faire un cadeau….’’

Funreal sortit son couteau de sa main droite et le posa a coter de Tsey’Ney.

’’Je tient beaucoup a te le donner. Je l’ai fabriquer a base d’os de yerick, c’est lorsque ma vie ne rimait a rien que je l’ai fait, mais maintenant je n’en ai plus besoin. Je vais m’en refaire un mais auprès de mon peuple. J’aimerais te demander un dernier service, pourrais tu me ramener auprès de Eywa ? ‘’

Sa plaie devenait de plus en plus douloureuse, il devait retourner auprès des siens pour s'y faire soigner ....

’’Je me prénomme Funreal et tu sais mon amie, mon enfance a vaguement ressembler a la tienne. Je fais partie du clan des chevaucheurs de ikran, tout comme toi. Mon père est mort suite à une attaque d’une meute de nantang, c’est pour cela que lorsque je me battais mes émotions avait pris le dessus. Apres le décès de mon père, je me suis mis a être solitaire, au point d’en oublier que j’existait. Mais aujourd’hui tu ma redonner l’espoirs de retrouver les miens, pour les protégés comme j’aurais du le faire. C’était la première fois que quelqu’un venait m’aider, tu est le seul a avoir risque ta vis pour moi. Et pour t’en remercier comme il se doit j’aimerais te faire un cadeau….’’

Tsey'Ney était ému. Il ressentait déjà une profonde amitié. Il avait envie de tirer d'affair ce jeune Na'Vi, comme il avait était aidé par son Olo'Eyctan sur les falaises. Il ne sut que faire du cadeau, il ne voualit le prendre car il en avait déjà, mais il ne voulait pas non plus le refuser carceci aurait surement offenser son ami. Lui faisant un grand sourire, il le pris et le glissa dans son carquois, juste à côté de celui de son père. Il regarda Funreal, le dévisagea même, il pensait à ses parents, il se disait que ce Na'Vi avait vécu une histoire similaire, et qu'il s'était résolu aux mêmes choix. Celui de vivre sans exister, celui de devenir solitaire, de parcourir des kilomètres et des kilomètres pour connaître le territoire. Ils étaient pareil, partout ils se sentaient à la fois chez eux, et à la fois chez un étranger. Leur amitié naquit donc d'un point commun, celui d'une enfance tumultueuse et ombragée de violence. Tsey'Ney repris le couteau dans ses mains, le regarda attentivement, et Funreal lança : "-Je tient beaucoup a te le donner. Je l’ai fabriquer a base d’os de yerick, c’est lorsque ma vie ne rimait a rien que je l’ai fait, mais maintenant je n’en ai plus besoin. Je vais m’en refaire un mais auprès de mon peuple. J’aimerais te demander un dernier service, pourrais tu me ramener auprès de Eywa ? "

Ce don faisait plaisir à Tsey'Ney, il chercha, mais il ne trouva rien à lui donner en retour.

"-Le seul cadeau que je peux te faire, c'est un conseil. Eywa ne se trouve que dans le coeur. Elle n'est pas matérialisée. Mes parents me disaient, et c'est là le seul souvenir que j'ai d'eux, qu'Eywa est toujours là où on est. Tu es auprès d'Eywa, tu es sur le sol d'Eywa, elle te vois, elle te lis et te ressens. Tu n'as rien à faire à part la laisser."

Il avait appris tout cela en se recueillant auprès de Kaashi, pendant un an, en pensant à ce que disait son père, et ce qu'approuvait sa mère. Il remis son couteau dans le carquois er observa l'entaille profonde sur le bras de Funreal. Il lui dit alors : "-Viens, nous allons tous deux rejoindre notre clan, en espérant qu'ils sauront te soigner cette blessure au plus vite. Suis moi!"

"-Le seul cadeau que je peux te faire, c'est un conseil. Eywa ne se trouve que dans le cœur. Elle n'est pas matérialisée. Mes parents me disaient, et c'est là le seul souvenir que j'ai d'eux, qu'Eywa est toujours là où on est. Tu es auprès d'Eywa, tu es sur le sol d'Eywa, elle te voit, elle te lit et te ressens. Tu n'as rien à faire à part la laisser."

Funreal regardait Tsey’ney avec attention, il dégageait une tel émotion lors de la prononciation de ses mot qu’il avait l’impression d’entendre parler son père. Les deux amis se connaissaient depuis à peine une heure, mais ils se considéraient déjà comme des frères. Jamais il n’aurait pensé qu’une tel amitié pouvait se faire en si peut de temps…

"-Viens, nous allons tous deux rejoindre notre clan, en espérant qu'ils sauront te soigner cette blessure au plus vite. Suis-moi!"

Funreal esquissa un sourire, l’idée même de rejoindre son peule le rempli de joie. Apres des années passer a erré dans la foret, a la recherche de réponses. Mais en y repensant tous cela le laissa perplexe, vont t-il accepter de me soigner, me reconnaitront t-ils …
Toutes ses questions hantaient son esprit, la peur vint même le rejoindre. Son corps se pétrifia ne sachant plus quoi faire.

’’Tsey’Ney attend ! Croit tu vraiment que c’est une bonne idée de retourner auprès des notre ? J’ai peur qu’il ne nous accepte plus parmi eux, cela fait de nombreuses années que je n’ai pas vécu en communauté …. Je ne sais plus où j’en suis....

’’Tsey’Ney attend ! Crois tu vraiment que c’est une bonne idée de retourner auprès des notre ? J’ai peur qu’il ne nous accepte plus parmi eux, cela fait de nombreuses années que je n’ai pas vécu en communauté …. Je ne sais plus où j’en suis...."

"Que l'idée soit bonne ou pas, là n'est plus la question. Ces questions nous nous les poserons une fois là bas. Le plus urgent est ton bras, il faut vite le soigner, mettons nous en route."

Il avait pris un ton semi-autoritaire qui ne lui ressemblait pas vraiment, mais qui avait en quelque sorte remis les idées en place de son compagnon. Ce dernier n'osa pas répondre et se mit en route, comme il était convenu. La nuit persévérait. Il avait du s'être écoulé une heure depuis la fuite qu'ils avaient pris devant les nantangs. A parler, à marcher, à nager, ils étaient désormais habitués. Ils attendaient un espace libre d'arbres. Ce lieu ne venait pas. Ils avaient beau marcher et encore marcher ils ne trouvaient pas d'endroit où appeler leur ikran. Ils traversèrent un cours d'eau, plus frais que d'habitude. L'eau laissait voir le lit du ruisseau, jonché de morceaux de tissus, de bouts de flêches grillées. Ils était arrivé au lieu du grand chagrin là où le peuple omaticaya avait été attaqué et en partie détruit par les humains. Tsey'Ney pensait que c'était surement ici qu'avait été pris la décision fatale, celle qui avait ramené ses parents auprès d'Eywa. Il se retourna et regarda intensément Funreal, comme pour chercher un réconfort, une complicité, une compassion.

«Il se retourna et regarda intensément Funreal, comme pour chercher un réconfort, une complicité, une compassion.»

Funreal s’approcha de Tsey’ney, le regardant d’un air ému, lui aussi avait compris ce que ressentait son ami. Une larme coula de son œil, il posa sa main au niveau du cœur de son camarade et lui dit :

« Pour moi aussi, venir ici est un fardeau, je sais ce que tu ressent, tout ce qui te paressait le plus chère a tes yeux a disparue sous se tas de cendre… Mais maintenant ils sont en sécurité, eywa veille sur eux, plus rien ne peut leurs arrivées. Ces étrangers venus du ciel nous on tout enlever… Tu es la seule famille qu’il me reste, si on avance ensemble nous irons loin je te le promet tsmukan… »

Funreal enleva sa main, et dit à son ami de le suivre. Ils marchèrent pendant de longue minutes, il ne pensait même plus a son entaille au bras, c’est comme si elle c’était refermer. Un peut près 1 kilomètre plus loin il virent une petite cascade avec un petit champs, assez grand pour accueillir le ikran de Tsey’Ney. Une rivière traversait le champ, celle-ci avait des reflets bleus magnifiques. Les deux na’vi traversèrent la rivière, il était tant. Leur calvaire avait pris fin…
Mais soudain funreal s'ecroula au sol il avait perdu beaucoup de sang il fallait faire vite....

« Pour moi aussi, venir ici est un fardeau, je sais ce que tu ressent, tout ce qui te paressait le plus chère a tes yeux a disparue sous se tas de cendre… Mais maintenant ils sont en sécurité, eywa veille sur eux, plus rien ne peut leurs arrivées. Ces étrangers venus du ciel nous on tout enlever… Tu es la seule famille qu’il me reste, si on avance ensemble nous irons loin je te le promet tsmukan… »

Ils charchaient toujours un lieu dans le quel s'envoler. Ils retraversèrent la rivière, émus tous les deux par sa beauté. Quand tout à coup, Funreal s'avanouit. Tsey'Ney alla vite chercher de l'eau qu'il mit dans une feuille afin de la verser sur Funreal. Rien n'y faisait ce dernier était toujours inconscient. Il appela Kaashi, qui vint se poser auprès d'eux, et hissa Funreal sur le dos de l'Ikran. Tsey'Ney y grimpa à son tour, tenant son compagnon pour ne pas qu'il tombe. Ils prirent l'envol.

Funreal ouvrit les yeux et regarda fixement Tsey'Ney. "Ton sang a arrêté de s'échapper, car j'ai resséré le bandage. " lui dit Tsey'Ney.
Le vent avait du remettre aussi les idées de Funreal en place et l'avait surement reveillé. Ils parcoururent des dizaines de kilomètres à dos d'Ikran et vinrent enfin se poser devant l'entrée d'une caverne. La pierre était froide et ramenait à la dure réalité du sol le chasseur qui n'aimait que le ciel.

« La pierre était froide et ramenait à la dure réalité du sol le chasseur qui n'aimait que le ciel. »

Des frissons montaient le long de mon corps, mon bras était engourdie je n’arrivais plus a le bouger. La sueur coulait le long de mon front, la fatigue commençait à ce faire ressentir, il fallait que je reste éveiller encore, en cas de problème je devais être opérationnel pour aider Tsey’ney. Il était devant la grotte, guettant que tout allait bien… Il devait être fatiguer, c’est pour cela que j’essaya de me lever. Ce fus cause perdu je retomba directement, mon bras heurta une pierre, un crie de douleur s’échappa de ma bouche.

« Ne t’inquiète pas pour moi, je me suis juste fait un peut mal. »

La douleur fut intense, comme un coup de poignard, mon corps se mit ensuite à trembler, je ne pensais pas que une ouverture au bras pouvait faire autant de dégâts. J’avais peur, la foret était illuminé de mille lumières. J’en aurais presque oublié ma douleur…De l’eau coulais des parois, elle était pleine de calcaire. Apres quelque minute a me débattre je réussi a me mettre assis, puis a me relever. Je me mis alors à marcher, me rattrapant au rocher avoisinant. Au bout de quelque minute de marche acharner je réussit a m’approcher de Tsey’ney.

« Laisse moi te remplacer, je peut monter la garde, j’ai reprit des forces. Ce n’est pas une simple coupure qui va me faire peur… Va te reposer sa te fera du bien tsmukan…