Premier contact avec un na'vi suite (privé tireaioang et aketuan)(FINI)

...Pou..Pourons-nous aller à l'arbre des voix s'il-te-plaît, je dois parler à Eywa, très vite.

Aketuan avait levé son ami et tous deux avaient courru aussi vite qu'ils pouvaient a l'arbre des voix.
Arrivé au lieu, Aketuan sourit, il aimait cet endroit. Ici il pouvait parler avec Eywa, puis aussi ce confésser ou parler tout simplement en faisant tsahaylu.

Il regarda Tireaioang, lui sourit et s'approcha de l'arbre. La, il fit le lien. A ce moment la, il ne pensa plus a rien. Il entendit lui voix, celles de ses ancetres. Cela lui fit du bien. De nombreux évenements c'étaient passée depuis son dernier tsahaylu. A ce moment la, il ne voulait etre aucune part sauf ici. Il parla a l'arbre pendant plusieurs minute, lui racontant les évenements. La rencontre avec ce Bitey, le dialogue avec la petite Alrin'aie puie enfin celle avec Tireaioang.
Avan de séparere le lien qui l'unissait a l'arbre, il dit a voix basse:

-Eywa notre mère, fait en sorte que tout ce passe bien pour tireaioang s'il te plait.

Puis il ce leva, le regarda et lui dit:

-A toi frère, il est temps.

Aketuan me prit par les épaules et me souleva. J'échangea un regard avec lui et partit en courrant, lui sur mes talons. Je n'avais plus courru avec une telle hargne depuis baucoup trop longtemps, les plante défilaient et le paysage changea rapidement. Nous passâmes du bord d'une falaise à une forêt plus varriée que celle dans laquelle nous avions passés la nuit. Nous passâme devant une petite meute de yerik qui détalèrent à notre vue puis dans un cours d'eau qui décendait des montagnes.

Nous courrûmes ainsi plusieures minutes avant d'arriver devant un arbre des voix, celui des Omaticayas. J'avais eu la chance de connaître celui qui les avait guidés jusqu'à l'arrivée des hommes, mais je n'avais jamais vu celui ci. Je fraîna ma course: je n'avais plus reparlé à Eywa depuis tellement longtemps que je ne me rapellais même plus de la sensation que l'on éprouvait en faisant le lien avec l'arbre des voix.

Aketuan passa devant moi et m'adressa un sourire confiant, il s'avanca vers l'arbre et prit quelques brins blanc qui s'animèrent d'une couleur légèrement fushia quand il les saisit. Il approcha sa natte et fit Tsaheylu avec l'arbre. Ses paupières se refermèrent et il savoura quelques minutes sa connection directe avec Eywa. Mes jambes flanchèrent et je m'assis en tailleur sur la mousse tellement agréable au toucher. J'atendis patiement qu'il est fini sa conversation avec Eywa mais au bout de quelques minutes, il se mit à parler:

-Eywa notre mère, fait en sorte que tout ce passe bien pour tireaioang s'il te plait.

Puis il se leva et détacha sa nattes des ''feuilles'' qui pendaient des branches. Il se retourna et s'addressa à moi:

-A toi frère, il est temps.

Je pris une grande inspiration et me levai. J'avais peur de ce que j'allais entendre. Et si eywa était en colère contre moi? J'ais fui. J' avais désertré...
Je pris ma natte dans ma main et l'approcha des fils blanc. Je ferma les paupières et atendis quelques secondes.

Je sentis une sorte de frissons dans tout mon corps puis j'entendis une voix, c'était en na'vi:

Le rythme de la pluie et du soleil,
Du jour et de la nuit,
Le rythme des années,
Et le battement des coeurs,
Le coeur du peuple,
M'enivrent,
M'enivrent.

Je détacha ma natte des quelques brins que j'avais utilisés pour entendre...

-C'était ma mère....

Sa voix je l'aurais reconnue entre mile. C'était la dernière que j'avais entendue avant de fuir:

*-Cours mon fils! COURS!!!!*

Je l'avais alors vu s'affaler sur le sol. Morte.

Je l'avais entendue alors qu'elle était morte, elle avait raison, c'est le coeur du peuple qui me soulagerait, qui me sauverait.

-Merci maman... Tu m'as indiqué ma place.

Je me retourna vers Aketuan, des larmes coulaient sur mon visage, mais des larmes de joie.

Je viens de comprendre Tsmukan. Ce qui me sauvera, C'EST LE PEUPLE!!!

...Je viens de comprendre Tsmukan. Ce qui me sauvera, C'EST LE PEUPLE!!!

Pendant tout le temps ou Tireaioang avait fait tsahaylu, Aketuan l'avais regardé intensement. Cette retrouvaille avec Eywa et ses ancetres devait etre pour lui un sentiment de bonheur pur.

-C'est possible que tu est entendu la voix de ta mère Tsmukan, elle est en Eywa notre mère. Toi aussi un jour tu la rejoindra, ta sa’nok et Eywa meme. Tu le sais certainement Tireaioang, nous naissons, mais un jour l'énergie prétée par Eywa, nous devons la lui rendre, c'est le cycle de la vie.

Le taronyu s'approcha du na'vi et posa sa main sur son épaule.

-Est-tu pret maintenan Tsmukan? Revenir parmis les tiens? Affronter le regard de ceux qui ne te reconnaitront meme pas et qui te prendont pour un inconnu? Mais ne t'inquiète pas, si tu fais ce que je t'ai dis, tu sera vite reconnu. Maintenan partons si nous n'avons plus rien a faire, nous avons de la route. Nous reviendrons vite ici ne tinquiète pas tsmukan. Alors on y va?

-C'est possible que tu est entendu la voix de ta mère Tsmukan, elle est en Eywa notre mère. Toi aussi un jour tu la rejoindra, ta sa’nok et Eywa meme. Tu le sais certainement Tireaioang, nous naissons, mais un jour l'énergie prétée par Eywa, nous devons la lui rendre, c'est le cycle de la vie.

Le taronyu s'approcha de moi et posa sa main sur mon épaule.

-Est-tu pret maintenan Tsmukan? Revenir parmis les tiens? Affronter le regard de ceux qui ne te reconnaitront meme pas et qui te prendont pour un inconnu? Mais ne t'inquiète pas, si tu fais ce que je t'ai dis, tu sera vite reconnu. Maintenan partons si nous n'avons plus rien a faire, nous avons de la route. Nous reviendrons vite ici ne tinquiète pas tsmukan. Alors on y va?

Les larmes coulaient encore sur mes joues et dégoulinaient de mon menton.

-Alons-y Tsmukan... Il est temps.
Je me retournai vivement et partis en courrant. Je me plantai au millieu d'un éspace dégagé:

*-Lu'may, tu vas avoir de nouveaux amis!!!*

Mon Ikran arriva et je sautai sur son dos musclé (je montais toujours a cru).

*-Nous alons chez les Omaticayas Tsmukan!*

Je me retournai vers Aketuan:

-Allez Tsmukan monte! Je dois réintègrer les miens!

Je pourrais réintègrer les Omaticaya: il n'y avait plus de doutes!